Sur le Net/ Lancement de l’ACI:une situation embarrassante amène la délégation de l’EDS à quitter précipitamment les lieux
LANCEMENT OFFICIEL DE L’ACI, EDS Y ETAIT MAIS N’A PAS PRIS PART AU DÉROULEMENT DE LA CÉRÉMONIE. POURQUOI ?
La délégation de Ensemble pour la Démocratie et la Souveraineté (EDS) conduite par la vice présidente chargée des affaires sociales, #DÉSIRÉE#DOUATI a répondu à l’invitation de Alternative Citoyenne Ivoirienne (ACI) ce samedi 11 mai à Port-Bouet , mais n’a pas participé au déroulement de la cérémonie par pur principe.
Pour rappel, EDS est une plate-forme politique dont le référent politique est le président GBAGBO. Ainsi tout acte que pose cette plate-forme touche directement ou indirectement l’image du président GBAGBO.
Cela dit, une situation embarrassante a amené la délégation de EDS à quitter précipitamment les lieux de la cérémonie. De quoi s’agit-il ?
Présente sur les lieux, la délégation de EDS est informée de l’arrivée d’un participant » indésirable » qui se serait invité comme »un artiste en herbe » au grand étonnement des organisateurs. Aussitôt, la cheffe de délégation informe sa hiérarchie qui pose un préalable: » EDS ne peut associer son image ou du moins l’image du président GBAGBO à celle du participant indésirable ».
Chose que les organisateurs ont promis régler, la délégation alors place dans l’enceinte. Mais quelques instants plus tard, » l’indesirable » envoie son représentant.
Il ne fallait plus y perdre des secondes car c’est une affaire d’image et de qui ? Du président GBAGBO.
C’est ainsi que la délégation de EDS dit au revoir aux organisateurs tout en assurant de leur présence pour les activités à venir.
Soit-il un cadre social, il fallait pas mélanger tout le monde dans le même panier, car tout le monde ne peut-être partout à la fois.
Associer son image à celle d’une personne qui définit désormais le président GBAGBO comme son ennemi, c’est tuer le président GBAGBO. En cas d’événements malheureux comme le deuil, on peut faire l’exception pour le repos de l’âme du ou de la défunte.
Bonjour chez vous, la lutte continue ! Bon dimanche à toutes et tous.