Mugefci/ Mesmin Comoé dresse un bilan positif de son mandat

Elu le 25 octobre 2017, Mesmin Comoé, Président du Conseil d’Administration (Pca) de la Mutuelle générale des fonctionnaires de Côte d’Ivoire (Mugefci) passera bientôt le flambeau à une autre personne. L’homme qui espère dégager la voie au futur Pca a tenu faire les choses dans la transparence en présentant son bilan devant la presse. C’était le samedi 17 juillet 2021, au Cercle des rails au Plateau. Durant deux heures, Mesmin Comoé a dressé son bilan 2017 à 2021 ; a rappelé ses engagements pris devant les mutualistes et a dénoncé la situation peu reluisante dans laquelle se trouvait la Mugefci juste après son élection.   

Nous vous invitons à lire l’intégralité des propos liminaires du président du Conseil d’Administration de la Mugefci.

Mesdames et Messieurs les journalistes,

Introduction

Le 25 octobre 2017, nous sommes élus administrateurs et Président du Conseil d’Administration de la MUGEF-CI. Alors que les textes de la MUGEF-CI prescrivent que notre prise de fonction doit intervenir au plus tard 2 jours après notre élection, la passation des charges est intervenue le 17 novembre au motif que nos adversaires, mauvais perdants, avaient ester en justice contre les résultats d’une élection pourtant organisée par le Ministère de l’Emploi et de la Protection sociale.

C’est donc à partir de novembre 2017 que le CA va dérouler sa gestion pour satisfaire les engagements qui ont conduit les fonctionnaires et agents de l’Etat à lui confier les rênes de l’entreprise.

Quelles sont les engagements que nous avions pris vis-à-vis des mutualistes ? Avons-nous satisfait ces engagements ? Quelle MUGEF-CI allons-nous laisser aux mutualistes. Voici les questions qui légitimement traversent les esprits et qui fondent la tenue de cette conférence de presse.

A travers le développement des points ci-évoqués, Mesdames et Messieurs, vous aurez des réponses claires et précises sur les questions d’actualités de notre mutuelle.

En effet, la période électorale qui pointe à l’horizon engendre des affirmations teintées de démagogie, de calomnies et de dénigrements là où j’invitais les uns et les autres à des propositions intelligentes, constructives et réalistes à même de rendre notre mutuelle plus performante, sinon la maintenir au niveau auquel nous l’avons hissée.

Pour mieux nous juger, il est bon de savoir sur quoi sommes-nous engagés avec les mutualistes ?

  1. Rappel des engagements
  1. Promouvoir les valeurs mutualistes ;
  2. Gérer de façon performante la Couverture Maladie Universelle en tant    qu’Organisme Gestionnaire Délégué ;
  3. Mettre en place une complémentaire santé et bien-être adaptée aux besoins des             mutualistes après une étude actuarielle poussée ;
  4. Faciliter et moderniser l’accès aux prestations ;
  5. Améliorer les capacités socio-économiques ;
  6. Mener une politique de prévention.

Voici ce sur quoi nous nous sommes engagés avec les mutualistes. Quel est le niveau d’exécution de ces engagements ? Mais avant de répondre à cette question, regardons dans quel état nous avions trouvé la mutuelle en 2017.

  1. Etat-des-lieux sommaire avant notre arrivée.

C’est le 22 Mars 2017 que le décret N° 2017-194 instituant un régime complémentaire au régime général de base de la couverture maladie universelle en faveur des fonctionnaires et agents de l’état est adopté. C’est l’arrimage CMU/MUGEF-CI et comme vous le constatez, cela est antérieur à notre prise de fonction. Ce n’est pas le Conseil d’Administration actuel qui a, contrairement aux allégations mensongères, négocié l’arrimage de la MUGEF-CI à la CMU.

Pour rappel, le décret susvisé dispose en son article premier qu’il « est institué en faveur des fonctionnaires et agents de l’Etat, un régime complémentaire au régime général de base assuré par la couverture maladie universelle.

Ce régime a pour but, dans la limite des ressources qui y sont affectées et dans les conditions fixées par arrêté du Ministre chargé de la protection sociale, la prise en charge des prestations ne relevant pas du régime général de base ».

En 2017, les mutualistes étaient confrontés au système de validation des bons de prescription par les codes. Système qui engendrait plusieurs désagréments et limitait l’accès aux prestations même s’il contribuait à réduire la fraude.

En 2017, tout comme l’année d’avant, on observe une dégradation des indicateurs techniques des régimes santé. Ainsi les taux de sinistralité du régime de base de 83,38% et celui de Ivoir’Santé de 122,07% étaient supérieurs à la norme qui est comprise entre 70% et 80%.

L’exercice 2017 s’est soldé par un déficit net de 2.401.217.376 FCFA avec un produit Ivoir’Santé qui ressortait un excédent de souscription négatif à hauteur de 1,7 milliards.

Mesmin Comoé entouré de ses proches collaborateurs.
  • Les principales réalisations
  1. Sur la promotion des valeurs mutualistes

Cela se traduit par le développement de l’esprit de solidarité, d’égalité et de démocratie d’une part et de l’autre, l’application des règles de bonne gouvernance à travers le respect des textes et des bonnes pratiques de gestion. A ce sujet, nous avons procédé dès Novembre 2017 à la formation des membres des organes de gestion et de contrôle sur les règles de la mutualité sociale.

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De septembre 2018 à décembre 2018, nous avons procédé à la formation des membres des bureaux des Conseils Consultatifs Locaux sur l’ensemble du territoire national. Ces séances de formation étaient couplées à des séances de sensibilisation et d’informations des mutualistes sur les réformes de la MUGEF-CI.

Nous avons également rencontré toutes les organisations de Fonctionnaires en activité comme à la retraite, association ou syndicat pour informations et implication dans la gestion participative de la mutuelle.

En 2018, l’audit général (organisationnel, opérationnel, informatique, comptable et financier) réalisé par le cabinet Deloitte nous a permis d’adopter un nouvel organigramme, d’amorcer la transformation de nos ressources humaines et de nous définir un schéma directeur informatique.

Les insuffisances de certaines dispositions statutaires ont été corrigées pour être plus proche des recommandations du dispositif règlementaire de l’UEMOA.

Durant cette mandature, nous nous sommes efforcés au respect de toutes les normes et ratio prudentiels.

Ainsi, les taux de sinistralité du régime de base sont de :

  • 76, 13% en 2018 ;
  • 73, 87% en 2019 ;
  • 70,15% en 2020 ;

Ces taux étaient de 79,91% en 2016 et 83,38% en 2017, avant notre arrivée.

La norme est comprise entre 70 et 80%.

Sur le régime complémentaire Ivoir’Santé, les taux de sinistralités sont de :

  • 95,94% en 2018
  • 79,43% en 2019
  • 70,12% en 2020

Ces taux étaient de 109,13% en 2016 et 122,07% en 2017.

Ici également, la norme est comprise entre 70 et 80 %.

Quant aux taux de charges de fonctionnement, ils ont été toujours en deçà des 20% recommandés par le règlement communautaire.

Nous avons enregistré en 2018 : 18,56% ; en 2019 : 19,94% et en 2020 : 19,87%.

Indiquons également que le montant annuel affecté au fonctionnement du Conseil d’Administration tel que défini depuis 2014 et validé par l’Assemblée générale n’a pas varié jusqu’à ce jour. Et il est en baisse comparativement aux années antérieures.

Tout en restant dans les limites des proportions affectées au fonctionnement, les dotations des Conseils Consultatifs Locaux ont connu une hausse.  Aujourd’hui le nombre de Conseils Consultatifs Locaux (CCL) est passé à 171. Cette décision, prise par l’Assemblée générale vise à respecter un des principes de la mutualité qui est la participation responsable.

Par ailleurs, pour plus d’efficacité dans leur tâche, il a été institué une prime trimestrielle aux délégués membres de l’Assemblée Générale.

Comme on peut le constater, nous avons respecté tous les indicateurs de bonne gestion nonobstant les mesures vigoureuses pour rendre plus actifs tous les acteurs.

  1. Concernant la facilitation de l’accès aux prestations

Il s’agissait, d’abord, pour nous, de lever l’injustice qui frappait les fonctionnaires en attente de leur premier mandatement. Ainsi, depuis janvier 2019, les fonctionnaires de cette catégorie sont pris en charge par leur mutuelle.

A ce jour, c’est une population générale de 5893 bénéficiaires dont 3818 adhérents qui ont été enregistrés et 2130 parmi eux ont bénéficié des prestations.

Ensuite, il fallait autoriser la prescription des infirmiers et sages-femmes. Le référentiel est adopté et il ne reste plus que l’autorisation du Ministère de la Santé pour rendre effectif le projet.

Dans le souci de rendre les services de la MUGEF-CI disponibles toute la journée, il a été institué au niveau des agents un service continu. Ainsi, depuis 2018, les services de la mutuelle sont ouverts de 8 heures à 17 heures sans discontinuer.

La prise en charge peut se faire également à distance. En effet, depuis 2019, il est créé un Call center qui permet de prendre et traiter des requêtes sans se déplacer. C’est environ 6000 requêtes que le call center traite chaque mois.

Par ailleurs, le mutualiste peut désormais créer son espace mutualiste sur le site internet de la mutuelle et suivre toutes les opérations le concernant.

En outre, nous avons procéder au renforcement des capacités opérationnelles.

A ce niveau, nous avons régler la question de la légalité du Service Médical des Fonctionnaires qui depuis son ouverture en 2002, fonctionnait sans aucune autorisation.

Nous avons ouvert, en mai 2019, le centre optique mutualiste. C’est un centre ultramoderne qui fait partie des meilleurs en Afrique sub-saharienne.

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Dans l’urgence, suite à la crise née de la volonté de l’Association des Cliniques Privées de nous imposer une nouvelle tarification, nous avons établi des partenariats avec la Clinique les Oliviers à Yopougon ainsi que l’Hôtel Médical Mutualiste Saint Nicolas à la Riviera. Je précise que la MUGEF-CI est présente au capital de cette dernière clinique et vient d’achever les discussions pour être actionnaire majoritaire avec acquisition en pleine propriété des bâtiments de cet établissement.

D’autres bâtiments ont été acquis en pleine propriété en vue de réaliser des SMF notamment à l’intérieur du pays. Il s’agit de Daloa, Bouaké, Yamoussoukro, Soubré. Outre ces localités, la MUGEF-CI dispose d’assiette foncière à Abengourou, Daoukro, Dimbokro, Yamoussoukro, Bouaké et Riviera Abatta.

La MUGEF-CI a accru ses représentations locales par l’ouverture des représentations de Cocody, et Bongouanou. Celles de Sassandra et Dabou sont prêtes et seront inaugurées dans les prochains jours. Celles de Yopougon et Soubré sont en cours d’aménagement. (Les bâtiments ont été acquis en pleine propriété).

Pour accroitre les capacités économiques et financières de la mutuelle en vue de garantir durablement la qualité des prestations servies, la MUGEF-CI a érigé un bâtiment annexe de 4 étages sur son site du plateau. Nous avons également bâti un ensemble immobilier de 5 immeubles dont un R+5 de très haut standing, aujourd’hui entièrement achevé et 4 autres immeubles R + 5 de haut standing en cours d’achèvement sur le site d’Abatta.

Enfin, la facilitation de l’accès aux prestations se traduit par la dématérialisation et la digitalisation du système de prise en charge.

Dès 2018, l’équipe projet a été mise en place pour la mise en route effective de la Carte Unique et Intelligente. Malgré les actions nocives, orchestrées par les négateurs de l’évolution constructive, ce projet innovant a vu le jour et poursuit son chemin. A ce jour, c’est un effectif de 463.745 mutualistes qui disposent de la Carte Unique et Intelligente sur un effectif de 790.227 actifs, soit 58,7%.

De janvier 2020 à ce jour, 851.217 prises en charges ont été réalisées via cette carte unique. Ces prises en charges sont effectives dans 213 localités, 789 pharmacies, 232 cliniques et sur 3429 terminaux déployés. Avant la fin de l’année 2021, nous serons à 100% déployés sur le réseau.

Je rappelle également que 8.327 TPC sont actifs sur la CUI.

  1. La gestion de la CMU en tant que OGD

La MUGEF-CI a été retenue comme Organisme Gestionnaire Délégué (OGD) prestation pour la Couverture Maladie Universelle. A ce titre, elle est chargée de la liquidation des feuilles de soins de la CMU. Ainsi, d’octobre 2019 à ce jour, la MUGEF-CI a traité 266.143 bons CMU.

Jusqu’en février de cette année 2021, le nombre de feuilles de soins liquidées par la MUGEF-CI est 167.667 représentant un montant de charge de prestation de 421.349.735 francs CFA.

Il est bon de rappeler que c’est après le plaidoyer mené exclusivement par la MUGEF-CI que l’Etat de Côte d’ivoire a consenti au payement d’une part patronale de 50 % sur les cotisations CMU des Fonctionnaires ainsi que leurs ayants droit mais limités à 8 personnes.

Le même plaidoyer a conduit à la prise en charge par l’Etat de la période de carence de 3 mois ainsi que l’accès aux prestations CMU pour tous les fonctionnaires même non encore enrôlés à la CMU. Cette disposition d’ailleurs prend fin au 31 décembre 2021. Considérant la note circulaire que vient de nous faire parvenir l’Agence Ivoirienne de Régulation de la Mutualité Sociale (AIRMS), aucun mutualiste ne pourra bénéficier des prestations de la mutuelle s’il n’est préalablement enrôlé à la CMU.

  1. Les actions de prévention et le renforcement des capacités socio-économiques

Elles n’ont pas été intenses sur l’ensemble du mandat. Elles ne se sont limitées qu’à des séances de dépistage de l’HTA et du diabète et quelques sponsorings des activités sportives pour l’encouragement à la pratique du sport.

Pour ce qui concerne, le renforcement des capacités socio-économiques, la promesse de la banque du fonctionnaire par la transformation de notre structure de microfinance, MUCREFCI est en cours. L’équipe dirigeante de la MUCREFCI a pu consolider la santé financière de cette institution et aujourd’hui la MUCREFCI est reconnue par la Commission Bancaire de la BCEAO comme un des systèmes financiers décentralisés les plus dynamiques dans son espace. Le groupe d’actionnaires est constitué, reste à rechercher le complément du capital pour ouvrir effectivement la banque.

  1. La gestion technique
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Ici nous aborderons la question de l’accès effectif aux soins par les mutualistes. Notamment sur le régime de base et le régime complémentaire Ivoir’Santé.

Mais avant, rappelons que nous avions pris l’engagement de mettre à la disposition des mutualistes des produits adaptés à leurs besoins après une étude actuarielle poussée et ceci en conformité avec l’article 6 du règlement d’exécution 03 de l’UEMOA. Cette étude actuarielle a effectivement été menée et a proposé les produits santé et prévoyance. Il s’agit de Ivoir’Pharmacie, Ivoir’Pharmacie Plus, Ivoir’SantéPlus, Ivoir’Santé Privilège, Ivoir’ Prévoyance, Ivoir’ Prévoyance Plus, Ivoir’ éducation et Ivoir’ éducation Plus. A ce jour, après seulement 6 mois de réelle promotion, c’est 64.941 souscriptions sur les nouveaux produits que nous avons enregistrées, dont 35.959 à Ivoir’ Pharmacie.  Nous félicitons les mutualistes pour cette marque de confiance et appelons vivement ceux qui n’ont pas encore souscrit à ces régimes complémentaires à le faire.

Sur le régime de base, de 2018 à 2020, c’est au total 5.282.646 bons servis pour un montant cumulé de 48.566.868.518 FRANCS.

Pour le régime complémentaire Ivoir’Santé, c’est 1.644.404 prises en charge sur la période 2017/ 2020 pour un montant global de 25.002.992.241 francs.

C’est donc un montant total de prestations servies sur la période de 73.569.860.759 francs.

Il faut rappeler qu’en 2017, Ivoir’Santé présentait un déficit cumulé de l’ordre de 12 milliards de francs CFA qui nous a obligé à adopter des réformes.

L’effectif des adhérents au régime complémentaire Ivoir’Santé est aujourd’hui de 57.567 contre 53.473 en 2017. En 2010, cette population était de 9.652 et 7.764 en 2009.

  1. La gestion financière

 

A notre prise de fonction en 2017, la MUGEF-CI présentait un résultat comptable déficitaire de 2.405.198.326 francs. Ce déficit se signalait également sur l’exercice 2016 pour un montant de 304.161.653 francs.

Sur les 3 dernières années, la tendance s’est inversée. Le résultat comptable est positif et la mutuelle a pu dégager des excédents de gestion de 300.574.405 francs en 2018, 787.456.068 francs en 2019 et 958.976.983 francs en 2020.

Ces différents excédents réalisés ont permis d’améliorer les prestations servies. Ainsi, en 2020, une liste additive de 406 nouveaux médicaments est venue renforcer le panier de soin du régime complémentaire obligatoire le faisant passer à 2013 médicaments. En outre, un Fonds de secours mutuel a été institué et ce fonds a servi des prestations pour un montant de plus de 160 millions de francs.

Il est bon d’indiquer que la réalisation d’excédents en vue d’accroitre la marge de solvabilité de la mutuelle est une exigence prescrite par l’article 62 du règlement principal de l’Uemoa et par la section 5 renfermant les articles 16 à 19 du Règlement spécifique 03.

Je voudrais rappeler que les mutuelles sociales établissent leur comptabilité selon un plan comptable spécifique. Le PCMS. Tout commentaire et toute analyse devront s’opérer sous l’empire de ce plan comptable. Au cours de la mandature, nous avons fonctionner dans le strict respect des dispositions de cette règlementation.

Ainsi, en 2020, les charges de fonctionnement de MUGEF-CI Assurance, donc les charges réelles de fonctionnement, sont de 6.306.066.530 francs pour une cotisation acquise de 31.730.089.207 francs. Soit un taux de charge de fonctionnement de 19,87% conforme à la norme.

En 2019, le montant des charges réelles de fonctionnement était de 6.575.539.402 francs pour des cotisations de 32.974.778.410 soit un taux 19,94% toujours conforme à la norme.

 

Conclusion

Mesdames et Messieurs, nous avons rêvé une MUGEF-CI grande et ambitieuse. C’est pourquoi notre vision est de faire d’elle la référence en matière mutuelle de santé et prévoyance en Afrique. Pour cela, elle doit répondre de façon optimum à la satisfaction des parties intéressées par des prestations modernes et de qualité, correspondant aux besoins et attentes des mutualistes, tout en consolidant ses indicateurs de pérennité. C’est cette vision qui se traduit par notre nouvelle démarche managériale qui est le système de management intégré SMI qui porte sur trois normes ISO à savoir : ISO 9001 sur le système de Management de la qualité, ISO 27001 sur le Management de la sécurité de l’information et ISO 22301 sur le système de management de la continuité d’activité.

Et tout ceci se résume dans notre nouvelle identité visuelle où la MUGEF-CI, au cœur de l’action sociale, place le mutualiste au cœur de ses préoccupations.

Je vous remercie !