Santé/Hawa Barry Diallo conseille l’huile de palme bio
Par Justin Kassy/afriquematin.net
Partie de sa Guinée natale, cette jeune dame a pu s’imposer aux Etats Unis. Nantie de hauts diplômes universitaires, au parcours extraordinaire, Hawa Barry Diallo a prouvé vraiment que « vouloir, c’est pouvoir ». L’Afrique d’aujourd’hui voit en elle, un espoir, une valeur, qui lui donne d’espérer en un lendemain meilleur.
Connue et respectée dans toutes les instances américaines aux Etats Unis, Hawa Barry Diallo a, dans le cadre de ses recherches visant au mieux-être des autres, de l’humanité en un mot, présenté au Dr OZ, un médecin Américain les plus écoutés aux Etats Unis, l’huile de palme bio. L’un se prononçant sur les vertus et l’autre, sur les bénéfices que cette huile engrangerait aux producteurs Africains.
Pour le Dr. Oz, la valeur nutritionnelle de la vraie huile de palme bio (non mélangée). Il a même précisé qu’elle réduit le niveau du mauvais cholestérol par 40%. Et depuis -, tous les Magazines Bio américains qui, auparavant rejetaient toujours cette huile, sont maintenant remplis d’huile de Palm, et la majorité venant directement de l’Afrique. Mais, comme à l’accoutumée, sans aucun bénéfice pour les producteurs locaux par manque de régulations et de systèmes organisés pour les protéger.
Selon Hawa Barry Diallo, « l’ex- Président des Etats Unis, Barack Obama, a mis l’Agoa en place, pour que les produits agricoles Africains puissent être exportés vers les USA. Mais on n’a jamais su profiter de ce programme comme il le fallait. Des projets égoïstes et individualistes de certains pays Africains, ont créé la honte totale dans les événements de promotions des produits agricoles organisés par le département d’Etat Américain. J’ai participé à plusieurs de ces événements et c’était toujours la honte totale aux stands de la Guinée. Ne venez pas me dire que ça aussi, c’était la faute entièrement du gouvernement. C’est aussi et toujours la volonté égoïste de certains de nos compatriotes, qui avaient accès à ces opportunités, et ont préféré voyager eux mêmes, au lieu de nous amener nos vrais jeunes agriculteurs, leurs produits et leurs projets exposés pour plus d’opportunités à ces événements. »