Par Iris Fabiola Yaëlle/afriquematin.net
Les résultats des élections municipales et régionales qui viennent de prendre partiellement fin ont proclamés. Dont certains sont contestés et contestables, mais aussi que d’autres n’ont pas leur raison de citer. A Diabo, par exemple où deux candidats ont « tapé poto » veulent coute que coute revendiquer un suffrage, Yao Sanian qui a été littéralement battu et Yao Rebecca, copieusement déboutée par les populations Glo lors de ce scrutin n’ont pas trouvé mieux que de se ridiculiser. Ayant vu leur honorabilité se confondre dans la gadoue, ces mauvais perdants, dont la campagne a été financée ( !) par l’argent du contribuable, devraient rendre compte de l’utilisation de cette manne à qui de droit. Pour ainsi faire du bruit et cacher leur incurie politique, ils veulent faire croire à l’opinion nationale et internationale qu’ils ont été sortis vainqueurs. D’où, ont-ils pris l’engagement de déposer des requêtes en annulation au président de la chambre administrative de la Cour suprême sur des faits imaginaires. Pour éclairer donc cette opinion, nous avons joint Koumoin René pour plus de clarification face à cette mesquinerie qui n’honore pas ses auteurs. « Ces deux mauvais perdants ont formés une coalition avec la complicité de quelques membres de leurs équipes et ont déposés des requêtes en annulation au président de la chambre administrative de la Cour suprême sur des faits imaginaires, sans aucune consistance et des dégâts orchestrés par leurs partisans », fait ressortir la maire. N’en déplaise à Mlle Rebecca Yao qui « après avoir obtenu 361 voix sur 6000 votants soit 6,20% fait une requête qui n’en est pas droit de citer », souligne-t-il. « En fait celle qui l’a en réalité, envoyée et qui a fait campagne en pensant que son nom suffit pour que sa candidate triomphe à participé des mains de maitre à cette conspiration à la résidence de Yao Sanian le lundi 15 octobre tard dans la nuit », rappelle Koumoin René. Le maire a aussi condamné le comportement peu recommandable des partisans de Yao Sanian qui se sont illustrés de la plus mauvaise manière en saccageant « le local du foyer des jeunes qui servi de CEI », note-t-il avec beaucoup de regret, alors que selon lui «les élections se sont déroulées dans le calme et sans incident jusqu’au lendemain de la proclamation des résultats », conclu-t-il. Nos tentatives pour joindre ces candidats malheureux qui crient au loup sont restées sans suite.