Par Yann Dominique N’guessan/afriquematin.net
« Nous avons mis à profit notre séjour de deux semaines en France pour tisser des relations avec des investisseurs et hommes d’affaires. Nous avons apporté la clarification sur la cartographie de Daoukro ». Dans le cadre de ses différentes rencontres, « nous avons exposé les possibilités d’investissement, que ce soit dans le domaine du tourisme, de la culture, de l’agriculture », a-t-il souligné. Le social a été passé au peigne fin d’où une sollicitation des autorités compétentes en la matière pour trouver solution à cette problématique. «Nous avons également posé les problèmes cruciaux des localités, en adduction en eau potable ». La question cruciale qui fait le buzz en ce moment en Côte d’Ivoire a été occultée. Notamment le problème de l’orpaillage clandestin qui a pris des proportions démesurées dans plusieurs localités du pays, « nous avons émis le souhait d’avoir des entreprises outillées pour exploiter cette richesse du sous-sol », plaide-t-il. Des contacts ont été noués à cet effet, « pour le bonheur de nos parents », a-t-il précisé.
Dans le cadre des activités du Réseau d’affaires Kanian Club, le 4e vice-président du conseil régional de l’Iffou, a annoncé l’arrivée d’investisseurs dans la localité. Egalement en sa qualité d’homme de culture, « il s’est agi pour moi, en tant qu’homme de culture et commissaire général du Festival international de la culture et des arts de Daoukro, de m’entretenir avec des hommes chevronnés de la culture, afin d’avoir une possibilité de booster les prochaines éditions du Ficad », a-t-il annoncé le dimanche 9 juin 2019, au cours d’un point de presse à son domicile.
Cette présentation des opportunités d’affaires et d’investissements de la région de l’Iffou aux hommes d’affaires français, fait suite à une invitation en France, dans la ville portuaire de Bordeaux, où le député de Daoukro et N’Gattakro commune et sous-préfecture, Akoto Olivier a exposé.
