L’OJPCI sous le verrou des « caciques »? (ACTE 1)
Par Michel Mangou – Afrique Matin.Net
Le débat conflictuel à l’OJPCI, l’une des plus importantes faîtières des journalistes en Côte d’Ivoire, donne lieu à des inquiétudes justifiées.
Certes, l’accès à la terre promise est toujours difficile mais quand il l’est par l’immaturité indélébile et intraitable de personnes au passé funeste, notre inquiétude devient encore plus grande.
La belle OJPCI, la charmante OJPCI qui a séduit l’ensemble des journalistes épris de beauté et de justice est aujourd’hui toute honteuse de sa laideur, séquestrée par ces voraces aux « dents » de vautour. J’ai mal de voir toutes ces incompétences avérées, comme des incas autour d’une proie, festoyer de grimaces énigmatiques. Combien de fois n’avez-vous pas joui de cette belle dame aux seins dressés sans toute fois lui donner le moindre enfant? Combien de temps entendez-vous encore jouir d’elle alors qu’elle n’attend que du sang nouveau, du sang plus jeune pour régénérer et se débarrasser des gênes corrompus et faisandés?
Ils ont reproché à l’UNJCI sa prise en otage par les caciques qui font de la succession une affaire clanique et ils ont créé l’OJPCI. Et voilà qu’enivrés par l’odeur du CFA et des intérêts égoïstes, ils transportent ici les mauvaises habitudes jadis décriées mais héritées en voulant vailles que vailles maintenir l’un d’eux, l’un des « VIEUX » à la tête de l’organisation par la tricherie; sinon, qu’est-ce qui peut justifier la présence d’un élève qui n’a pas appris ses leçons à une compo? Pour la survie de notre organisation, prions, qu’au soir du 4 août, l’OJPCI soit pour eux un souvenir, le souvenir d’un paradis perdu.