Nady Bamba met fin au débat: « mes avoirs ont été seulement débloqués en octobre 2018 »

Nady Bamba, la deuxième épouse de Laurent Gbagbo, depuis quelques jours au cœur de nombreuses spéculations, sort de sa réserve.

« Depuis quelques jours, des proches m’appellent ,
qui pour me faire part de leurs indignations, qui pour me transmettre leurs peines, qui pour simplement me soutenir face à une campagne bien orchestrée et cyniquement pensée pour me diaboliser à travers les réseaux sociaux.

Ne disposant pas d’un compte sur les réseaux sociaux, je ne vois donc pas tout ce qui se dit sur moi. Fort Heureusement! Je ne répondrai pas aujourd’hui à toutes les calomnies. L’épreuve va avec la patience. Cependant, comme le dit le dicton, la patience est amère mais ses fruits sont sucrés.

Depuis 2010, malgré le bombardement de ma maison en avril 2011, malgré la perte de mon père, en 2014, et que je n’ai malheureusement pas pu enterrer, malgré le gel de mes avoirs seulement débloqués en octobre 2018, malgré les attaques des adversaires et proches du Président Laurent Gbagbo, et ma mère toujours en exil, je suis restée aux côtés du Président Laurent Gbagbo non pas seulement parce qu’il est mon mari, mais aussi parce que c’est un monsieur bon et de bien.

C’est pourquoi, je profite de l’occasion pour remercier sincèrement et du fond du cœur, toutes celles et ceux qui n’ont de cesse de se mobiliser pour défendre la cause de ce grand homme. Demeurons en union de prières jusqu’au dénouement heureux de cette épreuve. En effet, bien qu’acquitté et étant sorti de prison, le Président Laurent Gbagbo n’est pas encore totalement libre.
Si nous maintenons la ferveur de nos prières et notre sérénité, Dieu nous fera grâce, il le sera et il retrouvera son pays et son peuple qui est impatient.

LIRE AUSSI :   Astuce beauté/ Voici quatre (4) conseils efficaces pour avoir une belle peau

Ce jour, Inch Allah, sera ma réponse.
Si « le Temps est un autre nom de Dieu, la vérité est, quant à elle, la fille du Temps ».Que Dieu nous donne longue vie. »

Source : Le Temps