Bonon-Tournoi de la cohésion sociale/Jean Thierry Djangoné salue l’engouement populaire

Par Haidmond Kaunan/afriquematin.net, envoyé spécial à Bonon

La 2ème édition du tournoi de Maracana de  la cohésion sociale, dont les finales de qui se sont jouées, le samedi 14 septembre 2019,   au groupe scolaire Fréfrédou, dans la commune de Bonon, département de Bouaflé (Centre-Ouest, plus de 300 km au nord d’Abidjan), a connu un engouement populaire.

 Le parrain Dr Thierry Djangoné a tenu ..a récompenser tous les athlètes

 Les équipes de tout-petits, de coiffeuses, des femmes exerçant dans le corps sanitaire et quatre équipes de professionnelles de la ville et des villages communaux  ont véritablement pris part à ce tournoi. En présence de plusieurs acteurs du monde politique, agricole et scolaire, les différentes rencontres se sont déroulées dans un esprit de convivialité, de  fair-play, comme  l’avait souhaité l’initiateur et parrain du tournoi, Dr Jean Thierry Djangoné.

La finale des tout-petits a été remportée par les enfants de Fréfrédou face à l’équipe de Bouffo par un sore de (1-0). Celle qui a opposé les formations des coiffeuses et celles exerçant dans le domaine de la santé a été sanctionnée par la victoire de (2-0) des  femmes agents de santé. Quant au

tournoi des hommes, c’est le Bonon Maracana club 2 qui s’est imposé par un score de (2-0) face à la formation de Zimac de Gobazra.

Le Bonon Maracana vainqueur de la coupe de la 2ème édition du tournoi de Maracana de la cohésion sociale
Les femmes agents de santé ont convaincu en remportant la partie qui les opposait aux coiffeuses

Membre du conseil municipal de la commune et secrétaire général  du parti politique dénommé ‘’Pour de la République et de la Démocratie’’ (PRD), Dr Jean Thierry Djangoné, s’est félicité de l’ambiance bon enfant, qui a prévalu tout en long du tournoi mais surtout l’engouement populaire qu’a suscité la compétition. Les  participants ont souhaité que ce tournoi devienne une institution à Bonon.

LIRE AUSSI :   CRISE AU BURIDA / La DG éclaire la lanterne des journalistes culturels.