AFTERWORK du RIJAF du jeudi 21 février: MARIAM DIAWARA, secrétaire exécutif du Conseil d’Appels des Sanctions de la BAD, invitée du jour.

La BANQUE AFRICAINE DE DÉVELOPPEMENT (BAD) finance de nombreux projets à travers le continent africain..Ces contributions financières, rien que pour l’année 2016 s’élevaient à plus de 4 milliards 300 millions de dollars. Elles doivent contribuer à faire reculer la pauvreté en Afrique, en créant des emplois, en permettant d’acheminer l’électricité dans des zones jusque là desservies, nourrir des milliers d’enfants, industrialiser l’Afrique et améliorer la qualité de vie des populations. Cependant, il n’est pas exclu d’admettre que des pratiques ou actes de malversations, de corruption peuvent s’inviter dans la gestion de ces fonds et ruiner ainsi tous les efforts entrepris par la Banque pour atteindre les cinq (5) actions prioritaires définies par la stratégie décennale du Groupe de la Banque. Pour réprimer ces actes de malversations ou d’agissements contraires aux règles de gouvernance de la BAD et préjudiciables à sa mission, il a été mis en place, au sein de l’institution un système de sanctions visant à pénaliser des individus ou des entreprises coupables de pratiques répréhensibles ainsi décrites. Pour en débattre Mme MARIAM DIAWARA, secrétaire exécutif du Conseil d’Appels des Sanctions de la BAD est l’invitée de l’AFTERWORK du RIJAF qui se tiendra le jeudi 21 février 2019 à l’hôtel NOVOTEL d’Abidjan-Plateau.

LIRE AUSSI :   Burkina Faso/Malade, le général Djibril Bassolé autorisé à quitter le pays