Avec Angelina Jolie, voici le drame silencieux que vivait Brad Pitt !!!

Par Léon SAKI – Afrique Matin.Net

La nouvelle du divorce entre Angelina Jolie et  Brad Pitt anime actuellement le milieu people où certains vont même jusqu’à faire porter le chapeau à l’acteur de « Thelma & Louise« , l’accusant de violences conjugales et d’alcoolique. Si l’objectif menée de cette campagne reste de porter un coup à l’image de marque de l’acteur, les auteurs ont failli bien réussir. Mais fort heureusement Brad Pitt reconnu pour être un homme exemplaire bénéficie toujours des circonstances atténuantes.

Ce que de nombreuses personnes ignorent, c’est le drame silencieux vécu par le célèbre acteur sous son toit et sous les regards de ses propres enfants. L’homme avait trouvé en sa compagne une femme pour le restant de sa vie quand il lui a donné 5 enfants, mais voilà que tous les espoirs d’une famille solide et soudée vont s’effondrés avec les subites ambitions philanthropiques de l’actrice du « péché originel ». Il n’aurait pas eu de problèmes si cela se faisait sous la bannière d’une fondation, « LA FONDATION ANGELINA JOLIE POUR LES RÉFUGIÉS », par exemple, mais non.

L’actrice a tout simplement choisi de travailler sous la tutelle de l’ONU, pire, elle envisage même de tout abandonner au profit de l’institution mondiale. ç’aurait été une bonne initiative si l’ONU gardait encore son éthique initiale et originelle, or non. L’immoralité et la gangrène sexuelle hors norme qui sévissent au sein de l’institution, en réalité, ne sont pas rassurant pour une famille qui aspire au bonheur.

Si de nombreux puristes dénoncent le caractère totalitaire de l’ONU notamment Michel Schooyans pour qui l’institution se pose comme un SUPER-ETAT MONDIAL qui écrase, sous la bénédiction des supers-puissances et leurs multinationales, les autres états, « exerce un contrôle de plus en plus centralisé sur l’information, la santé et les populations, les ressources du sol et du sous-sol, le commerce mondial et les organisations syndicales, enfin – sur le droit et la politique », il n’en est pas de moins pour les pratiques sexuelles, surtout hors normes, qui se déroulent sous le drapeau bleu.

Travailler à l’ONU est le gage d’une aisance financière certaine mais elle a des contraintes et des conséquences généralement top-secret. On se pose difficilement la question de savoir, pourquoi, l’ONU se pose tant comme un défenseur acharné de l’Homosexualité. Pourquoi presse-t-elle les états à la dépénalisation de l’homosexualité? Ce n’est certainement pas une autre façon de lutter contre l’augmentation inquiétante de la population car certains homosexuels ont commencé à se découvrir des qualités de « mère-porteuses ».

Sans vouloir salir l’image de l’institution, il y a lieu de reconnaître tout de même que bien des témoignages aujourd’hui prouvent qu’il est difficile d’avoir une vie normale de foyer en travaillant à l’ONU. On est tenu par le secret professionnel. Lisez ici Mgr. Michel Schooyans pour comprendre: « Chaque fois qu’au nom d’une conception inversée des droits de l’homme, on fait passer de soi-disant nouveaux droits individuels – droits à l’homosexualité, à l’avortement, à l’euthanasie, à la suppression de toute tutelle parentale sur les enfants, à l’inceste, à la pédophilie, à la répudiation, à la prostitution, etc. – on s’en va vers une société de violence. A cette prostitution de la vie, contribuent largement les politiciens et presque tous les médias ».

C’est donc dans une telle institution que l’actrice a décidé de travailler prétextant de son nouveau rôle flatteur d’Ambassadrice de l’ONU. Depuis sa désignation, elle a effectué 40 missions dans les pays les plus en proie à la guerre comme l’Afghanistan, l’Irak et bientôt la Syrie. Et voilà qu’elle part parfois avec les enfants, les plus petits, ce qui ne cesse d’inquiéter le père, resté sur place pour veiller sur les trois autres. Combien de temps cela va-t-il durer puisque l’actrice a décidé de déposer définitivement ses valises chez Ban Ki Moon. Voilà toute la détresse qui suscite parfois deux ou trois verres d’alcool.