Les Ivoiriens sont-ils la raison des déboires de Koffi Olomidé en R.D.C ?

Par Christ Zorro Afriquematin.net

Est-ce le début de la fin pour Koffi Olomidé? Tout porte à le croire tant la virulence des propos de la star congolaise à l’endroit de ces compères ivoiriens , Alpha Blondy, Meiway et D.J Arafat, frôle la démence.

Koffi olomidé est allergique à la critique. La star n’a de toute évidence pas digérer les reprochent à lui faites par ses compatriotes d’Europe dans la crise politique que traverse en ce moment la R.D.C, à savoir son parti pris en faveur du pouvoir Kabila. Ses compatriotes lui auraient conseillé la neutralité dans cette crise à l’instar des chanteurs Alpha Blondy et Meiway. Ainsi, sortant de ses gongs, il s’est littéralement défoulé sur ses compères et montré aux internautes une image de beaucoup moins reluisante que celle qu’il arbore d’habitude. Les ivoiriens sur lesquels il a déversé sa ‘’bile’’ sont-ils la cause des déboires qu’il traverse depuis un certain temps ?

En effet, le manque de sang-froid du congolais à l’aéroport de Nairobi au Kenya le 26 juillet 2016 et le buzz que son comportement à occasionné sur les réseaux sociaux n’est certainement pas le fait du « drogué » qu’il s’est plu à tancéaussi vertement sur la toile. Qu’il  se souvienne que Meiway et Arafat n’étaient  pas les instigateurs des plaintespour viol et séquestrations de  trois de ses danseusesle 13 février 2012 à Nanterre en République française. En outre, ceux-ci ne lui ont pas inspiré la bastonnade du producteur congolais Diégo Lubaki dans son hôtel de Kinshasa ce 16 aout de la même année. « Mopao » devrait plutôt avoir le profil bas pour son dérapage verbal et présenter ses excuses au plus vite avant que ses dérives ne lui retombent dessus. En effet, ce sont des icônes nationales Ivoiriennes qu’il a ‘’écorché’’ et si réparation n’est  faitle plus tôt possible, la suite de sa carrière risque certainement de pâtir de cette insolence, la Cote d’Ivoire n’étant pas n’importe quel pays que l’on peut impunément fouler au pied.