Le Président des Philippines au Parlement Européen: « Allez Vous Faire Foutre! ».
Le politiquement correct imposé par l’hypocrisie étagée à l’infini des tenants du marché mondial ne tient plus en Asie.
Le président des Philippines, Rodrigo Duterte, s’est encore illustré par une série de dérapages verbaux en insultant l’Union Européenne, à qui il reproche de critiquer sa campagne de salubrité publique contre la mafia et la criminalité.
Le Parlement européen a fait semblant d’être préoccupé la semaine dernière par le « nombre extraordinairement élevé de personnes tuées lors d’opérations de police », demandant à Manille de lancer immédiatement une « enquête » sur ces meurtres. Inutile de préciser que cette campagne visait l’une des mafias les plus corrompues au monde.
De là à associer parlement de l’Union Européenne dont il ne reste plus que le nom à une mafia asiatique de bas étage, le pas est vite franchi vu le niveau lamentable des pseudo-politiciens européens, quasiment tous corrompus et « achetables » (et jetables à l’occasion)…
Au parlement européen qui vient de condamner hypocritement ce qu’il a qualifié de « vague actuelle d’exécutions extra-judiciaires et de meurtres » aux Philippines, M. Duterte a lancé un « Je leur Dis: Allez Vous Foutre!-FUCK YOU! » en réservant une mention particulière à la Grande-Bretagne et à la France, pays qualifiés d’hypocrites et qui font la morale aux autres pour atténuer leur sentiments de culpabilité après avoir tué des milliers d’arabes et d’autres peuples.
M. Duterte s’est demandé qui il a tué avant de souligner que même si le bilan de 1700 morts soit pour autant avéré, il n’en demeure pas moins qu’il s’agit de criminels et de racailles. « Vous osez appeler cela un génocide? » lança t-il à l’adresse des députés européens. « Et l’Union Européenne a le culot de me condamner. Alors je le répète, allez vous faire foutre!« , a-t-il conclu, avant de ponctuer sa tirade d’un doigt d’honneur pas même furtif…
Le président des Philippines avait injurié à peu près dans les mêmes termes d’autres instances internationales comme l’Organisation des Nations Unies et a également traité le président américain Barack Obama de « fils de pute » après une mystérieuse tentative d’assassinat ciblé à Davao, sa ville natale.
Cela change des ennuyeux échanges protocolaires…