Par Hermann Adepo/afriquematin.net, correspondant permanent
Vacances culture activité initiée pour déceler des talents et financée en grande partie par des institutions étatiques, a lieu chaque année. Pour cette 25ème édition, c’est la capitale de la région du Haut-Sassandra qui héberge l’évènement.
Débuté le 03 septembre 2019, soit 03 jours de pèlerinages, les festivaliers se plaignent de leurs conditions de logements, de nourritures, et surtout l’absence flagrante de la population à cette compétition culturelle.
« Nous festivaliers avons du mal à nous nourrir. Et comme il a été dit depuis le départ, une somme de 10.000f CFA devrait être remis à chaque compétiteur pour son séjour, et jusque-là, rien n’a encore été fait dans ce sens et je me vois obligé de faire un effort – afin de prendre en charge mes camarades», a tenu à souligner Azané Koffi Kan, venu de la région du Poro
Les festivaliers déplorent le manque d’hygiène des toilettes qui présentent un danger « en dépit de ce qui est dit par le camarade j’ajouterais le problème d’hygiène des toilettes », a noté Koffi Chantale, de Bouaké. A cela s’ajoutent les différents lieux de spectacles qui laissent à désirer, d’où l’absence de la population dont la mobilisation manque à l’évènement.
Toutes les tentatives pour rentrer en contact avec le commissaire général du festival, Koffi Bilé Yapo, afin d’en savoir plus, sont restées sans suite, qui refuse « de s’adresser aux représentants des différents médias ».
