France/L’homme qui a giflé Emmanuel Macron fait appel

Par Iris Fabiola Yaëlle/afriquematin.net avec cnews.fr

En marge d’un déplacement d’Emmanuel Macron à Tain-L’Hermitage, le 8 juin dernier, Damien Tarel avait frappé le Président de la République au visage, provoquant une importante vague de protestations au sein de la classe politique. Condamné à quatre mois de prison ferme il a fait appel des peines complémentaires qui lui ont été infligées.

Âgé de plus d’une vingtaine d’années, Damien Tarel, écroué depuis son procès le 10 juin, accepte sa condamnation,  mais conteste les autres peines auxquelles le tribunal correctionnel de Valence l’a astreint.

Selon le site cnews.fr qui donne l’information, relayée par l’Afp, -outre la peine de dix-huit (18) mois de prison, dont quatorze « 14 » – avec sursis, assortie d’un mandat de dépôt, le tribunal avait prononcé à son encontre une interdiction définitive d’exercer dans la fonction publique, l’interdiction de détenir une arme pendant cinq ans et la privation des droits civiques, civils et familiaux pour trois ans.

 La Cour d’appel précise que le parquet, qui avait demandé à l’audience 18 mois de prison ferme, a formé un appel incident (en réaction à l’appel du condamné).

 Présenté à l’audience de comparution immédiate deux jours après les faits, l’homme sans emploi et vivant du RSA a reconnu son ancrage à la droite du spectre politique.

 

 

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