Les hommes qui ont du ventre sont meilleurs au lit!

Nous avons découvert cet article lors de nos ballades sur la toile! Avis à celles qui avaient des préjugés, vous risquez de vous raviser.

« Des chercheurs à l’Université d’Erciyes, en Turquie, ont planché pendant un an sur une étude mettant en correlation l’Indice de masse corporelle (IMC) des hommes, avec leurs performances sexuelles.

Leur conclusion : Les hommes qui ont un peu de graisse abdominale sont plus endurants au lit que leurs homologues aux proportions plus athlétiques. En moyenne, ils parvenaient à retarder le moment fatal de l’éjaculation de cinq minutes — cinq minutes ! — plus longtemps que les hommes aux proportions plus fines.

Au total, 200 hommes ont participé à cette étude. Selon leurs résultats, le segment de ces hommes qui avaient l’IMC le plus élevé (comprenez, les plus dodus) duraient en moyenne 7.3 minutes au lit. À l’inverse, les hommes qui avaient l’IMC le plus bas (donc, ceux qui sont vraiment très maigres) tenaient tout juste 2 minutes en moyenne, et c’est aussi dans cette population que l’on recense le plus haut taux d’éjaculateurs précoces.

Pour que vous vous rendiez bien compte, faisons un petit calcul : supposons qu’un type ait 100 relations sexuelles à l’année. Si il a un peu de bide, il passera approximativement  huit heures de plus— une journée de travail ! — à pénétrer sa partenaire; ce qui est plutôt considérable. Mesdames, vous comprenez désormais tout l’intérêt que vous avez à investir dans des hommes ventrus !

Bon c’est bien joli tout cela, mais pourquoi exactement une différence si nette? Comment expliquer ces résultats ? En fait, l’hypothèse retenue par les scientifiques est la suivante : Une masse de graisse plus importante signifie pour l’homme qu’il a plus d’estradiol, une hormone sexuelle féminine, qui inhibe l’orgasme, leur permettant de se contenir plus longtemps. Dit comme ça, ça fait moins glamour, c’est sûr… Mais ce sont les résultats qui comptent, non ? »

Alors mesdames plûtot abdo ou  poignet d’amour ?  

Source: www.404-magazine.com