SUR LES TRACES D’UN INCORRIGIBLE ESCROC…[SUITE]

<Africa Gouvernance Et Médias TV> A RÉUSSI À DÉVISAGER DE GROSSES VICTIMES IVOIRIENNES, ROULÉES ET ESCROQUÉES PAR LE CÉLÉBRISSIME TRUAND, MACIRÉ SYLLA!
EXTRAIT…

Qu’elle a du courage et de l’audace, cette racaille dégoûtante, de la race du sieur MACIRÉ SYLLA, du nom de cet impitoyable escroc, à la peau dure…et même plus dure que du fer à béton!
En dehors de <petites> victimes, auxquels il aura extorquer d’innombrables biens, en matériels et en numéraires, de grosses pointures comme la Générale de brigade AKISSI KOUAMÉ, sont malheureusement tombées dans l’embuscade diabolique de SYLLA. À cette gradée, le truand avait promis monts et merveilles, avec l’emploie de prétextes flatteurs, à faire rêver n’importe quelle femme du monde, quelque soit son rang ou sa situation sociale.
L’officier Général à même convolé en juste noce au moyen d’un mariage coutumier avec l’intrus. Une occasion en or qui avait connu une importante présence des parents musulmans du <prétendant>. Les cérémonies de déroulent discrètement au Plateau Dokui [à l’échelle entre Abobo et Cocody]. Au nom de cette liaison, il y a seulement quelques années, sous l’ancien régime, SYLLA MACIRÉ s’était transporté au palais de la Présidence de la République, pour demander de l’argent liquide, <de la part de la générale>, avait il insinuer sans coup férir! le Ministre Paul Koffi, témoin des faits, vérifiera l’authenticité de ce camouflage inédit auprès de la concernée, qui répondra ne <connaître> le fugitif, ni d’Adan, ni d’Ève…
Les minutes qui ont suivi, il fut <cueilli> séance tenante par des éléments de la Police Criminelle locale, qui l’on écroué et déferré devant le Ministère public d’Abidjan. Cette arrestation a été suivie d’un bref séjours de l’inculpé, au centre carcéral de la capitale économique ivoirienne.
Dame Akissi, partie à la retraite depuis décembre dernier, s’est vue contrainte de rompre cette <union>, de peur de voir son nom et sa réputation traînés par terre.
Mais, bien avant ce <divorce> au forceps, le <rat des palais>, avait réussi l’exploit d’escroquer la société ADAM AFRIQUE, sise en zone industrielle de Koumassi, à Abidjan, de plusieurs dizaines de millions de FCFA. Cette forfaiture, le truand l’aurait brillamment réalisée <au nom du Générale de brigade AKISSI>.
Et pourtant, cette brave dame, intelligente, loyale et d’excellente probité, est connue de tous en Côte d’Ivoire, parce-que, spéciale et unique. Originaire de Tiassalé, elle fut dans l’histoire d’après indépendance, la toute première femme à avoir atteint le grade d’officier général dans l’armée ivoirienne. Elle est respectée et vénérée par la Société Civile du pays.
À la publication du 1er extrait de notre enquête, samedi dernier, ils ont été nombreux, ces personnes, physiques et morales, à partager leur pathétiques mésaventures avec le criminel, qui semble avoir fait plus de victimes que jamais.
Si l’on en croît à cette source précieuse et respectable,
Le couple Ouattara, ainsi que plusieurs hauts dignitaires politiques ivoiriens et africains, sans exclure des hommes d’affaires prospères et importants, constitueraient un <carnet d’adresses> redoutable en faveur du délinquant, que de nombreux lecteurs présentent comme <incorrigible et relativement intraitable>.
Les femmes! plusieurs sources recoupées et traitées, indiquent que le bandit en porterait sur les bras à souhait. À ses soins et uniquement pour du <plaisir>, celles-ci seraient <logées et blanchies>, sans qu’il n’en subisse la souffrance financière. En claire, un extraordinaire personnage qui n’a pas encore déployé toutes ses cartes…
Vivement, que le droit malien suffise à décourager définitivement cet indécrottable individu, plus dangereux qu’une bombe atomique…
Nous y reviendrons !

Source: Africa Gouvernance Et Medias TV