Déchets toxiques – après la décision de Londres  /  Koffi Hanon Charles président du Renadvidet -CI  prévient : ‘’ Que certaines associations ne s’en servent pas pour escroquer les victimes…‘’

 

« C’EST UNE  DECISION DE PREMIERE  INSTANCE QUI PEUT FAIRE L’OBJET D’APPEL PAR LEID DAY AND CO … »

Dans cet entretien, M Koffi  Hanon Charles parle de la décision de justice des déchets toxiques  rendue  à Londres le 17 juin 2016  en faveur des victimes qui empocheront  chacun la somme de 750. 000 FCFA.   Il est quelque peu sceptique quand l’aboutissement réelle  de cette procédure de Londres, estimant  par ailleurs, que cette  une décision de justice de première instance   pourrait faire l’objet d’appel, par le cabinet Anglais Leid Day and Co. Il ne faut donc pas vite crier victoire à son sens. En sus,  il invite  les victimes à  plus de vigilance  car selon lui,  certaines organisations des  déchets toxiques pourraient se cacher derrière cette décision de justice pour  leurs  extorquer des  fonds.   

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NOUS AVONS APPRIS QUE LES VICTIMES DES DECHETS TOXIQUES A TRAVERS MAITRE KALILOU FADIGA VIENNENT DE GAGNER A LONDRES UNE PROCEDURE CONTRE LEIGH DAY AND CO ? QU’EN PENSEZ- VOUS ?

C’est un double sentiment de joie et pour cause : d’ abord en tant que victime et représentant de victimes il est tout à fait normal que tout ce qui, positivement arrive aux victimes me réjouit et avec moi tout le réseau que je représente. Mais, malheureusement, c’est une décision de première instance qui peut faire l’objet d’appel par LEIGH DAY & CO ; que certaines associations de victimes ne  s’en servent pas pour encore escroquer les victimes. Aussi, suis-je avec le réseau national pour la défense des droits des victimes des déchets toxiques de côte d’ ivoire(RENADVIDET-CI)  le père de cette procédure qui nous a été volée par Me KALILOU Fadiga, YAO Pipira Dénis et certains représentants de victimes qui, à un moment donné avaient travaillé avec LEIGH DAY et qui sont poursuivis par nous pour avoir cogéré notre indemnisation avec la coordination fictive de GOHOUROU Claude, aux enquêtes générales de la préfecture de police d’ Abidjan ce, dans le cadre d’ une deuxième plainte que nous avons initiée courant Mai 2015 également contre la SGBCI et contre Me KOUAME Clément  et ZINDA Sawadogo qui ont représenté le cabinet LEIGH DAY & CO dans ledit processus d’indemnisation et au profit desquels le Bâtonnier fait obstruction quant à leur audition ; cette plainte porte sur le reliquat de notre indemnisation à hauteur de 14 milliards de F CFA exception faite des 4,658 milliards de F CFA qui font l’ objet d’ instruction devant la cour d’ appel du plateau.

 MAIS COMMENT CELA EST-IL POSSIBLE PARCE QUE VOTRE NOM ENCORE MOINS CELUI DU RENADVIDET-CI QUE VOUS REPRESENTEZ N’EST PAS MENTIONNE DANS LADITE PROCEDURE ?

Avant de répondre à cette question, je tiens à me féliciter et avec moi le RENADVIDET-CI que je représente et qui a eu comme je l’ai indiqué le flair de cette procédure et je vais vous l’expliquer clairement et simplement pour que le monde entier sache que Me KALILOU Fadiga et YAO Pipira dénis qui se réclament la paternité de cette victoire sont des opportunistes notoires. J’avais prévenu sur un éventuel détournement, lorsque LEIGH DAY&CO avait donné notre argent à GOHOUROU Claude en vue de notre indemnisation parce qu’il l’avait déjà fait au trésor d’Abidjan concernant l’indemnisation initiée par l’Etat de côte d’ivoire et les gens ne m’avaient pas cru. Aujourd’hui, le temps et les faits me donnent raison et c’est ce qui justifie notre procédure qui est en instruction devant la première chambre correctionnelle de la cour d’appel du plateau. Aussi, je doute fort bien que cette victoire si elle est définitive que KALILOU FADIGA et YAO Pipira Dénis reversent aux victimes la totalité de  leur indemnisation pour les raisons évoquées plus haut. En outre, il faut noter que YAO Pipira Dénis n’ est pas concerné par cette procédure et à l’ occasion du débat télévisé que nous avons eu courant  l’ année 2014 sur la première chaine de la télévision ivoirienne sur l’ affaire des déchets toxiques, répondant à une question du journaliste Lanciné FOFANA, il avait clairement signifié qu’il n’ était pas concerné par la procédure d’ indemnisation initiée par LEIGH DAY&CO mais plutôt par une nouvelle procédure d’ indemnisation.

Pour cette procédure qui vient de connaître un premier aboutissement à Londres, vu les tergiversations de la justice ivoirienne qui avait fortement politisé  la plainte que nous avons initiée courant 2011 contre GOHOUROU Claude François, KONE Cheick Oumar, l’ ex ministre de l’intégration africaine du régime actuel, M. Adama bictogo et autres portant sur le détournement de notre indemnisation et l’assignation servie au cabinet LEIGH DAY&CO en dommages et intérêts pour violation de notre mandat, j’ avais approché Me KALILOU Fadiga à travers un président d’ association de victimes du nom de OUATTARA  Marvin qui était dans la nouvelle  procédure d’ indemnisation avec lui mais qui n’ est plus en odeur de sainteté avec Me KALILOU Fadiga à cause de ses mêmes actes de fausseté pour lui demander d’initier une procédure judiciaire contre LEIGH DAY &CO à Londres pour le compte des victimes du RENADVIDET-CI.

 QU’EST-CE  QUI S’EST PASSE ET POURQUOI DONC ?

La raison, je vous l’ai déjà expliquée parce que pour moi la justice serait plus indépendante à Londres pour trancher. Mais au premier abord, il m’avait répondu que LEIGH DAY&CO avait correctement fait son travail et que c’était certains de nos dirigeants et la justice ivoirienne qui avaient détourné notre indemnisation. En réponse, je lui avais dit soit mais j’avais insisté en lui soulignant qu’en dépit de cet éventuel état de fait, la responsabilité de LEIGH DAY&CO pouvait être engagée relativement à sa responsabilité contractuelle qui a consisté à violer le mandat individuel que chacun de nous au nombre des 29.624 victimes lui avions donné.

Sur la base de ce mandat, LEIGH DAY&CO s’ était vu obligé de demander notre avis sur les 750 mille que selon lui TRAFIGURA nous avait proposé ; et c’ est lorsque chacun de nous avait accepté ce montant, qu’ il avait autorisé TRAFIGURA à le virer  sur son compte ouvert au nom de son cabinet dans les livres de la SGBCI en vue de notre indemnisation ce, en son ex qualité de mandataire de toutes ces victimes. Aussi, pour donner notre indemnisation à GOHOUROU Claude à travers sa coordination créée sur la base du faux, LEIGH DAY&CO se devait de nous consulter individuellement mais il ne l’avait pas fait et  c’est là où réside sa faute contractuelle. Après m’avoir écouté religieusement, il m’avait répondu qu’il serait difficile pour lui de nous représenter en Angleterre et ce, d’ autant que c’est LEIGH DAY&CO qui, pour avoir initié pendant trois années durant  une procédure contre TRAFIGURA et qui avait abouti à un arrangement amiable donc à une victoire qui lui donnait des informations pour faire aboutir leur nouvelle procédure d’indemnisation contre cette société. Il avait donc proposé de me trouver un autre avocat à Londres.

Quelques mois  plus tard, courant l’année 2013, le sieur Marvin Ouattara m’avait joint téléphoniquement et m’avait informé que Me KALILOU était à Abidjan et qu’il fallait que je les rejoigne rapidement dans un hôtel à BIETRY avec les éléments de ma procédure et pour cause : Me KALILOU  l’avait rassuré sur l’issue favorable de celle-ci.  J’y étais donc arrivé avec les éléments de cette procédure, notamment  avec le protocole de règlement amiable et transactionnel en date du 11 Février 2010 passé entre la coordination de GOHOUROU Claude avec LEIGH DAY pour  confier à cette coordination fictive notre indemnisation et aussi la plainte plus précisément l’assignation que j’avais rédigée contre LEIGH DAY parce qu’il n’avait pas une vision claire de la rédaction de celle-ci quoique convaincu de la pertinence de ladite procédure. Une autre fois avant de venir, il m’avait demandé de réunir dans un premier temps 500 mandats de victimes à son profit et que c’est ce que le juge de la haute cour de Grande-Bretagne lui avait exigé pour vérifier sur la liste de LEIGH DAY, l’existence effective de ces victimes et aussi si elles n’avaient pas encore été indemnisées avant d’ouvrir  la procédure en question. Sur cette question, je lui avais demandé un mandat écrit entre lui et moi en tant que représentant de ces victimes. Il m’avait répondu que cela ne posait aucun problème mais que pour l’ heure ce n’était pas la procédure à proprement parler ; qu’il s’agissait pour la cour de vérifier avec LEIGH DAY&CO si ces victimes existaient et qu’elles n’avaient pas encore perçu leur indemnisation. Une semaine après, lorsqu’ il avait envoyé son petit frère me rencontrer  à cette fin, je lui avais remis en lieu et place de 500 mandats, 3 mille mandats et avais eu une conservation téléphonique avec Me KALILOU Fadiga pour insister non seulement sur ledit contrat mais aussi et surtout sur le fait que nous avons 25 mille victimes au total sur les 29.624 concernées par ladite procédure et qui étaient dans le même cas ; il n’ avait trouvé aucun inconvénient à cela et les semaines qui ont suivi, j’ ai appris par un tiers qu’ il était à Abidjan en compagnie de YAO Pipira denis et certains représentants de victimes qui avaient travaillé avec LEIGH DAY&CO et qui sont également poursuivis  par nous pour avoir cogéré notre indemnisation à travers la coordination de GOHOUROU Claude ; ces derniers procéderaient à une opération de diversion des victimes en leur extorquant des mandats au profit de Me KALILOU Fadiga en contrepartie de billets de banque. Lorsque cette information a été vérifiée par moi et avérée, je l’avais joint au téléphone pour mettre fin à toute collaboration entre lui et le RENADVIDET-CI que je représente et  j’avais informé LEIGH DAY&CO par courrier électronique de ce qu’il agissait non pas pour le compte des victimes mais pour son propre compte. Par ailleurs, avant cette brouille, Me KALILOU m’avait demandé de radier ma procédure d’assignation contre LEIGH DAY devant le tribunal civil de Côte d’Ivoire pour ne pas que celle envisagée à Londres soit déclarée irrecevable. Je lui en avais donné l’assurance mais tout en étant prudent et ma procédure a été maintenue en l’état à ce jour. Je  m’oblige à faire ces éclairages pour restituer les choses dans leur contexte véridique et à cet effet, je sollicite pour preuve, un débat contradictoire avec ces mis en cause devant la presse nationale et internationale tout en nous réservant le droit à travers le RENADVIDET-CI de déposer une plainte contre Me KALILOU Fadiga pour vol de procédure.

DANS CE CAS, NE PENSEZ-VOUS PAS QUE CETTE VICTOIRE PUISSE AVOIR UNE INCIDENCE SUR LES PROCEDURES QUE VOUS AVEZ INITIEES DEVANT LES JURIDICTIONS IVOIRIENNES ?

Non pas du tout, il n’y aucun amalgame à faire à ce niveau d’ abord,  parce que nos différentes procédures sont antérieures à celle de Me KALILOU Fadiga. Son action date de 2013 alors que la plainte que nous avons initiée contre GOHOUROU Claude et autres qui n’a rien avoir avec LEIGH   DAY date de 2011 et l’assignation faite contre LEIGH DAY devant la juridiction présidentielle du tribunal de première instance du plateau date du 8 Juin 201O. Ensuite, pour ce qui concerne la première action, un individu en la personne de GOHOUROU Claude tapis derrière certaines autorités politico-judiciaires s’est fait passer pour notre représentant et a indument reçu notre argent pour dit-il  nous indemniser ; nous avons constaté des malversations grossières dans la gestion de ces fonds et nous les poursuivons pour recouvrer notre argent détourné et à ce niveau nous avons déjà obtenu une première décision de justice en notre faveur et nous sommes devant la cour d’ appel pendant qu’ ils viennent maintenant de finir avec le tribunal de première instance de Londres. Enfin, pour ce qui concerne l’assignation contre LEIGH DAY, elle n’a pas pour objet de recouvrer les sommes détournées par GOHOUROU Claude et autres que nous poursuivons devant la cour d’appel mais plutôt des dommages et intérêts pour avoir violé le mandat individuel que nous lui avons donné et cela est très clair. Et par rapport à la procédure pénale contre GOHOUROU Claude, KONE Cheick Oumar et autres, le juge de la mise en état a ordonné un sursis à statuer relatif à l’assignation faite contre LEIGH DAY en attendant la décision qui sera prise par la première chambre correctionnelle de la cour d’appel du plateau dont les plaidoiries devant cette cour se feront le 29 Juin prochain. Si la cour d’appel confirme la décision du tribunal, donc confirme le détournement de notre indemnisation supposé commis  par GOHOUROU Claude, KONE Cheick Oumar et autres, les effets de cette décision seront appliqués par le juge civil parce que, en cette matière, les décisions de la cour d’appel sont exécutoires au plan civil.ET cette décision sera revêtue de l’exéquatur, c’est-à-dire de la force exécutoire pour être appliquée contre Leigh Day CO à Londres.

En fait, ce que vous devez retenir, c’ est que Me KALILOU Fadiga et certains représentants de victimes pour avoir depuis 2010 à ce jour escroqué de nombreuses personnes se réclamant victimes en leur faisant miroiter une nouvelle indemnisation et sachant pertinemment que c’ cette  procédure serait vouée à l’ échec pour plusieurs raisons notamment le contrat passé par l’ Etat de côte d’ ivoire avec TRAFIGURA qui exempte TRAFIGURA de toute responsabilité dans le préjudice subi par les victimes quant à leur exposition prolongée aux émanations dégagées par les déchets pétroliers du probo-koala, ensuite le fait que Me KALILOU Fadiga n’ a pas pu rédiger une assignation conséquente et convaincante, enfin, le fait que cette procédure soit composée de beaucoup de fausses victimes recensées pèle mêle avec extorsion d’argent pour la confection de prétendus dossiers d’ indemnisation constatées par TRAFIGURA et qui l’ a obligée à porter plainte  devant les juridictions pénales ivoiriennes contre tous ces représentants véreux pour faux et usage de faux constatés sur les certificats médicaux  établis au profit de  ces pseudo victimes ; ce qui suspend donc toutes les actions civiles initiée contre elle par toutes  ces associations  qui se sont bâties une fortune sur l’ infortune, le malheur des victimes. Me KALILOU Fadiga et ses acolytes sachant pertinemment cela, et lesdits acolytes étant sous la pression de leurs prétendues victimes escroquées se sont rabattues sur notre procédure pour  créer la confusion dans l’ esprit de leur victime et espérer indemniser en plus des 4 milles victimes supposées concernées par celle-ci, quelques-unes de leurs fausses victimes et faire accepter aux autres que leurs dossiers ont été rejetés ; toute politique de communication qu’ils avaient d’ ailleurs déjà entreprises à travers certains médias.

 AVEZ-VOUS CONFIANCE EN LA JUSTICE ET QU’EN EST-IL DU DEFAUT DE QUALITE DE REPRESENTER LES VICTIMES  QUI VOUS A ETE OPPOSE DANS LA DECISION DU TRIBUNAL DE PREMIERE INSTANCE DU PLATEAU EN DATE DU 13 JANVIER 2015 CONDAMNANT GOHOUROU CLAUDE, KONE CHEICK OUMAR ET AUTRES A 20 ANS DE PRISON FERME SANS MANDAT DE DEPOT ?

J’ai toujours eu confiance en notre justice même si par moment je dénonce certains comportements en marge de la loi car, dans toutes les corporations sociales, il y a des bons et des mauvais. Je n’ai donc pas de doute sur la crédibilité de la cour d’appel qui n’a jusque-là donné aucune preuve contraire à cet effet et qui, d’ ailleurs mène les débats en toute transparence.ET j’ai foi qu’elle dira le droit car, il y va de la santé et de la vie de milliers d’intoxiqués livrés à eux-mêmes et parmi lesquels nombre sont déjà décédés et   d’autres continuent de décéder.

Pour ce qui concerne le défaut de qualité prétendument utilisé par le tribunal pour ne pas parler de notre indemnisation ce, pour protéger ceux qui l’ont détournée et qui ont certainement utilisé une grande partie pour soudoyer certaines autorités politico-judiciaires, membres du RDR pour bénéficier de leur protection est un faux débat. En effet, le mandat que j’ai reçu des victimes n’avait pas pour objet de les représenter devant la justice mais plutôt d’ouvrir une plainte et à cette plainte se sont jointes les victimes. Les victimes concernées par ladite procédure ont été individuellement entendues par le capitaine SANOGO Amara de la police économique en charge de ladite enquête, elles ont été entendues individuellement par la juge ASSI Dosso Juliette, alors juge du premier cabinet d’ instruction du plateau en charge de ladite instruction, elles ont  commis Maître  Tanoh  DIAVATCHE Pierre, Avocat à la Cour  qui s’ est constitué partie civile pour chacune d’ elles  devant le premier cabinet d’ instruction le 4 Avril 2012. Les victimes se sont également individuellement constituées partie civile devant Mme N’DRI Bertine, alors présidente de la chambre des délits économiques du tribunal correctionnel de première instance du plateau avec dépôt de leur liste à toutes les étapes de cette procédure indiquée plus haut avant qu’ elle ne soit affectée par l’ ex ministre de la justice M. GNENEMA Coulibaly  ce, après avoir mis notre affaire en délibéré et voir nommé le juge KONE Bernard qui est venu tout remettre en cause, notre avocat y a également réitéré sa constitution de partie civile. Notre procédure est donc régulière et ne souffre par conséquent d’aucune ambiguïté. Toutes les personnalités citées sont vivantes et exercent leur différente fonction à Abidjan et peuvent être interrogées en vue de la manifestation de la vérité    car, c’est sur les morts que l’on peut mentir. Pour finir, la rétention volontaire de l’agreement de notre association depuis le début de l’année 2012 est une machination du ministère de l’intérieur certainement en complicité avec certaines autorités judiciaires, membres du RDR pour créer la confusion dans l’esprit de l’opinion afin d’exonérer KONE Cheick Oumar du payement des 4,658 milliards détournés avec GOHOUROU Claude, ACCESS BANK devenue AFRILAND FIRST BANK et autres. Enfin, tous ces éléments de preuve sont contenus dans notre mémoire pour cause d’appel que nous allons remettre à la cour et à toutes les parties concernées par ledit procès le 29 Juin prochain.

Entretien réalisé par   Albert Zaté