Médecine/Des composants dangereux d’un vaccin repérés par une analyse accablante

 

Ce rapport risque de faire du bruit. Le mardi 5 avril dernier, un laboratoire italien spécialisé dans les nanoparticules a rendu publiques ses conclusions d’analyses d’un vaccin. Et le résultat est sans appel : parmi les éléments retrouvés dans l’échantillon, des « débris de plomb, de zinc, de titane » ainsi qu’une » particule de zirconium », un composant répertorié comme étant « légèrement radioactif ». Pour les 580 familles qui depuis de nombreux mois partout en France sont engagées dans un marathon judiciaire tortueux, c’est un premier élément de réponse. Car jusqu’à présent, ils ne pouvaient que supposer le lien de cause à effet entre les étranges symptômes développés par leurs enfants et l’injection, à la  fin de l’année 2014, d’un lot frelaté du vaccin Méningitec. Fièvres violentes et inexpliquées, problèmes de peau, de sommeil et troubles du comportement… Pour beaucoup, ces maladies diagnostiquées auto-immunes sont devenues partie intégrante d’un quotidien plus jamais comme avant.  Du côté des principaux mis en cause, les lignes ne sont pas encore prêtes de bouger. Restent pourtant encore de nombreuses questions en suspens. Que va-t-il se passer pour ces petits patients dont on suppose à présent qu’ils ont été contaminés par des métaux lourds ? Les parents, déboussolés, n’en savent rien.

Source : metronews