Par Obiang N/ afriquematin.net
QUE FAIT-ON MAINTENANT?
Il était une fois deux amis dans un pays considéré comme l’antre de la démocratie. Oui c’est le pays africain qui le premier a réussi l’organisation d’une conférence nationale pour passer de la monocratie au pluralisme. Oh, que c’était beau quand les blancs vous applaudissent!
Les amis, l’un était très riche et l’autre trop politique. Le trop politique voulant devenir Président de la République, alla voir son ami trop riche. « Mon ami donne-moi de ton argent pour devenir président ».
Haannnnnnn, tu – veux – de-ve-nir pré-si-dent ! s’exclama l’autre. Le trop politique expliqua son choix et réussit à convaincre le trop riche qui mit une partie de sa fortune en jeu pour aider son ami à réaliser ses voeux. Le trop politique devient président. Une fois telle, le trop riche n’arrivait plus à le voir. Le trop politique-président se cachait, il fuyait le trop riche. Pour finir, il l’accusa de l’avoir empoisonné et pourtant il est en vie. Le trop riche se cacha à son tour et mieux, il s’exila jusqu’à ce que le mandat du trop politique-président arrive à son terme. Pays exalté par l’occident pour sa démocratie vivante, il est obligé de ne pas faire comme Sassou Nguesso ou Kabila. Le trop politique fit venir un challenger pour lui succéder. Mais le trop riche aussi savait maintenant comment on fait pour devenir président: C’est l’argent et il en avait beaucoup. C’est un cotonnier! Sans problème, il devient président. Le trop politique n’est plus président et il a peur comme ses pleurs . Depuis hier, ils sont à Abidjan. Le trop politique demande pardon.
Dans ce cas, on fait quoi?
Quand tu étais président, tu as cherché à m’éliminer en m’accusant d’empoisonneur. Maintenant, je suis président, tu n’es plus président, on fait quoi?
Pardon, il faut laisser, sinon il va encore pleurer!!!!!!!!
