Par Iris Fabiola Yaëlle/afriquematin.net avec matindafrique.com
Alors que le Président gabonais est retourné, la semaine dernière, au Maroc pour y poursuivre sa convalescence, des tractations sont menées secrètement en vue de tourner sa page. Le non recouvrement de toutes ses facultés, quatre mois après l’accident vasculaire cérébral dont il a été victime en Arabie Saoudite, serait la raison avancée. Margré les progrès constatés dans le recouvrement de ses automatismes, Ali Bongo ne jouit pas encore de la plénitude de ses facultés auditives et visuelles. De source sécuritaire, il pourrait en être privé pendant plusieurs mois. A ce stade de la situation, rien n’est moins sûr que la vacance du pouvoir n’est pas à exclure.