Par Keren Bossouma/afriquematin.net
Face à une route dégradée ou abîmée, il peut y avoir un accident de la route et l’état des routes n’est jamais épargné de tout reproche, surtout pendant ou après une saison de pluie. Il peut parfois se creuser des crevasses, des nids de poule ou autres malformations sur les routes.
Comme l’on peut constater les autorités sont théoriquement responsables des routes, de leurs états et de la sécurité sur la voie publique ou de quartier. Dès lors, si l’on estime que ces dégâts sont liés au mauvais état d’une route, l’on peut légitimement essayer d’exercer un recours envers les autorités compétentes.
En empruntant cette voie qui mène depuis le carrefour dit « bleu-marine » à l’hôtel médical de impôts aux Deux-Plateaux-Agban (Poste nord) l’on retrouve la dégradation très avancée de cette voie qui jadis faisait la fierté des usagers, ne répondant plus à l’aspiration des habitants de ce bourg et celle des automobilistes, ni les malades qui sont convoyés dans cet établissement sanitaire pour recevoir des soins.
Qu’une solution durable soit trouvée par les autorités compétentes afin que ce tronçon jouisse à nouveau de sa beauté d’antan, afin d’éviter les dégâts qui, déjà, sont causés par l’état de dégradation avancée. Pour l’heure, l’on peut se demander à qui revient-il la responsabilité de mettre en état cet itinéraire.