Site icon Afriquematin.net

Lutte contre le paludisme/Un test du vaccin le plus avancé sera appliqué sur des enfants

(FILES)A mosquito is bloated with blood as it inserts its stinger into human flesh in this undated file photo obtained from the US Department of Agriculture(USDA) on September 9, 2002. US researchers have carried out genetic tweaks to malaria carrying mosquitos so their offspring feature genes that block the parasite which causes the disease, opening the way to eradicating it. Previous studies in recent years had already shown it was possible to modify mosquitos genetically so they neutralize the parasite called Plasmodium falciparum, which causes malaria. The new study, published November 24, 2015 in Proceedings of the National Academy of Sciences, marks an advance in a gene-editing technique called Crispr. It involves inserting parasite-blocking genes in the DNA of Anopheles stephensi mosquitos, which are a leading vector of malaria in Asia, to ensure that these genes are passed on to the bugs' offspring. The researchers said they had achieved a rate of transmission of 99.5 percent. AFP PHOTO/HANDOUT/USDA == RESTRICTED TO EDITORIAL USE / MANDATORY CREDIT: "AFP PHOTO / HANDOUT / USDA"/ NO MARKETING / NO ADVERTISING CAMPAIGNS / DISTRIBUTED AS A SERVICE TO CLIENTS ==

L’Organisation mondiale de la santé (Oms) organise demain jeudi 25 avril 2019 la Journée mondiale de lutte contre le paludisme. Selon rfi.fr, l’occasion sera pour la structure mondiale de faire le lancement de tests à grande échelle du vaccin le plus avancé, mais à l’efficacité limitée. Les enfants du Malawi, du Kenya et du Ghana qui sont les principales victimes du paludisme seront les premiers bénéficiaires.

Si les résultats sont positifs, -ce vaccin mis au point par la firme GSK pourrait être déployé plus largement en Afrique. Il viendrait alors étoffer, et non pas remplacer, la stratégie de lutte contre le paludisme, fondée notamment sur l’utilisation de moustiquaires imprégnées, la pulvérisation d’insecticides dans les habitations et le traitement préventif des femmes enceintes.

Quatre doses devraient être administrées au jeune enfant, ce qui constitue une contrainte. On est donc loin du vaccin idéal, mais il a un intérêt potentiel.

 Avec afriquematin.net

Quitter la version mobile