Par Christ Zorro Afriquematin.net
Ce Mardi 27 décembre 2016 au centre de protection de la petite enfance sise à adjamé forum, le service de coordination des structures éducatives de base du Ministère de la promotion de la femme, de la famille et de la protection de l’enfant a tenu à faire son bilan du 1er trimestre en présence des responsables et principaux animateurs des C.P.P.E et des C.A.C.E.
C’est aux environs de 9h, que Mme la directrice du service de coordination des structures de base dudit ministère, Mme Yapo Akora Arahamanta et ses collaborateurs ont reçu les représentants du ministère de tutelle à savoir Mr Magel Kouakou, directeur de cabinet de Mme la ministre Euphrasie Kouassi Yao et la directrice des ressources humaines, Mme Sylvie Kodjo.
Le Premier à intervenir à cette réunion bilan, à savoir le directeur de cabinet, à exhorté les animateurs des centres de protection de la petite enfance (C.P.P.E) et des centres d’action communautaire pour la petite enfance (C.A.C.E) à tout mettre en œuvre pour accroitre lesdites structures sur toute l’étendue du territoire national. Il a en outre invité les animateurs de ces structures à la qualité dans les services qu’ils dispensent afin de susciter au sein de la population un entrain pour ces centres d’accueil.
La seconde intervenante, Mme Sylvie Kodjo, a entretenue l’auditoire sur l’importance des droits et devoirs du Fonctionnaire. Selon la conférencière, l’exercice des droits et devoirs du fonctionnaire en général et de celui des travailleurs sociaux dans le ministère duquel elle a l’honneur de gérer les ressources est fondamental dans la mission à eux confiée par leur ministre de tutelle. En effet, l’éducation de la petite enfance, ne serait-t-il pas l’un des piliers de la politique d’émergence chère au président de la république ? Quoi donc de plus normal selon Mme Sylvie Kodjo que les travailleurs de ce ministère soient au faîte de tous leurs droits et de leurs devoirs pour garantir la symbiose parfaite d’entre les objectifs du ministère et leur bien être.
Le troisième intervenant, le docteur Sadia Martin Armand, enseignant chercheur à l’université Alassane Ouattara de Bouaké, a quant à lui, animé un atelier de formation sur la prise en charge institutionnelle du petit enfant. Après avoir défini la notion d’« enfant » et les conséquences qui en découlent, l’animateur à donner à son auditoire des pistes en vue du perfectionnement de l’éducation du petit enfant, socle du développement de toute nation.
Pour terminer, il est revenu à la directrice des services de coordination des structures de base du ministère de la promotion des femmes, de la famille et de la protection de l’enfant, Mme Yapo akora Arahamanta, de s’entretenir avec l’ensemble des animateurs desdites structures sur le fonctionnement de celles-ci,