Par Iris Fabiola Yaëlle /afriquematin.net
Jean Ping, candidat malheureux qui s’est autoproclamé président élu, lors des dernières consultations présidentielles, n’a pas daigné accepter la main tendu du président Ali Bongo. Dans un langage de qualité primaire, ce mauvais perdant a martelé qu’il ne « reconnaîtrait pas ce pouvoir qui ne respecte pas les droits humains, y compris les plus élémentaires». Malheureusement, ce « diplomate »a ignoré les règles élémentaires d’un scrutin. Il a aussi demandé aux forces de l’ordre de faire preuve de retenue, mais mieux aussi de remplir leur devoir dans le strict respect de la déontologie en «évitant tout dérapage et toute atteinte aux droits de l’Homme». Coup dur pour lui, car tous les gabonais ont reconnu Ali Bongo comme leur président. Mieux certains membres de l’opposition significative ont accepté la main tendue et font partie du gouvernement. L’ex-président de la Commission de l’Union africaine, veut coute que coute sauver la face. Dommage pour Jean Ping qui durant ses « grandes promenades » n’a pas pu apprendre ce qu’on appelle le fair-play. En démocratie, s’entend.