La hardiesse des hackers dont PING s’est attaché les services est stupéfiante. En effet révèle le site français : « MEDIAPART » : ils ont osé modifié les données démographiques sur la région du Haut Ogoué sur WIKIPEDIA, avec des techniques de « capture d’écran ».
C’est ainsi qu’ils(les hackers) ont attribué à FRANCEVILLE,la capitale administrative du Haut Ogoué le nombre de 50 000 habitants. RIDICULE ! EN 2010 FRANCEVILLE comptait déjà 100 000 habitants. Le Haut Ogoue a connu un accroissement de population la plus forte du Gabon, passant de 1993 à 2013 de 104 000 habitants à 250 000 habitants.CELA EST VERIFIABLE.
QUOI DE PLUS NORMAL QU’IL Y SOIT COMPTABILISE 71.786 ELECTEURS. À l’évidence on est très loin des manipulations de chiffres des hackers relayées par une feuille de chou décrédibilisée comme « la LETTRE DU CONTINENT » dont ROBERT BOURGI est l’un des propriétaires. Cet homme qui voue une haine viscérale au président ALI BONGO qui ne lui remet plus des liasses de billets comme faisait son père OMAR BONGO que ROBERT BOURGI appelait : « PAPA ».
On comprend donc pourquoi l’employé de BOURGI, FREDERIC LEJAL(qu’il a interviewé pour son recrutement au départ de ANTOINE GLASER) ose écrire : « la population du Haut Ogoué vient subitement de passer de 50 000 habitants à 250 000 habitants sur WIKIPEDIA après une modification à 11h45».
C’est le contraire qui s’est produit car ce sont les hackers qui ont truqué les données et inonder les réseaux sociaux de fausses informations. Le Haut Ogoué est la deuxième région la plus peuplée du Gabon. Les vraies données sont sur le site ENCYCLOPEDIA BRITANNICA qui reprend les statistiques de la Direction générale de la statistique et des études économiques du Gabon datant de 2004 et qui reconnaît comme président…OMAR BONGO.
ALI BONGO est seulement chef de l’Etat depuis 2009. IL NE POUVAIT PAS PROGRAMMER UN COUP « statistique » depuis 2012 pour préparer un deuxième septennat. CELA N’A PAS DE SENS. Oui dans le Haut Ogoué, il y a eu un vote ethnique comme presque partout en Afrique. C’est une réalité. Elle n’est pas anti-démocratique. Elle ne résulte pas de tripatouillages. C’est PING et ses complices qui ont joué avec les fausses informations et les partisans de Ali Bongo ont été très vigilants pour rétablir la vérité sur WIKIPEDIA et l’ensemble des réseaux sociaux.
Il en est de même de l’instrumentalisation de la violence. C’est l’opposition qui essaie de mettre le feu car le président élu Ali Bongo n’a aucun intérêt à cela. Au contraire il veut le calme et la paix. Comme l’Union africaine vient de convier tous les acteurs d’œuvrer dans ce sens.
Les élections gabonaises qui viennent d’avoir lieu ouvrent les yeux sur une nouvelle donne dans l’univers de la cybercriminalité. Les hackers peuvent pervertir les résultats d’une élection et mettre un pays à feu et à sang.
On peut comprendre pourquoi le Congo Brazzaville avait imposé un blackout pendant toute la durée de ses élections.
Le Gabon a joué la transparence et c’est tout à l’honneur de ses dirigeants mais fait face à des difficultés liées au manque de fair play et d’éthique des opposants.
C’est Jean Ping qu’il faut blâmer. Il est assoiffé de pouvoir et, en vérité n’aime pas le Gabon. On ne joue pas les pyromanes dans un pays qu’on aime.
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