S’appuyant sur l’article 3 de sa constitution, Interpol, la police des polices, a refusé de valider le mandat d’arrêt émis par le Burkina contre le président de l’assemblée nationale ivoirienne, Guillaume Soro.
L’article 3 en question stipule :
« Toute activité ou intervention dans des questions ou affaires présentant un caractère politique, militaire, religieux ou racial est rigoureusement interdite à l’Organisation ».
source: Omegafm