Par JM Tonga – Afriquematin.net
« Elle représente pour moi une légende, un symbole de paix. C’est le souvenir vivant de cette belle époque de paix et de prospérité, d’amour et de fraternité des années Houphouët Boigny », a déclaré Jack Traboulsy en expliquant le titre de son dixième album « Thérèse ». C’était le samedi 27 avril dernier à la FNAC à Marcory lors de la dédicace de ce disque.
« Thérèse », titre phare et éponyme de l’album est un hommage à la toute Première Dame de Côte d’Ivoire, en l’occurrence Thérèse Houphouët-Boigny. Un condensé de 6 titres, le nouveau disque de Jack Traboulsy a une forte teneur d’amour, d’émotion et de nostalgie. L’artiste ressasse des souvenirs de personnages et lieux qui ont marqué sa vie. A l’image de titre comme « Djéngboklô », chanté en baoulé qui rend hommage à sa ville natale Dimbokro. Ainsi que « Aho Gagnoa » qui est une ode à la ville qui a bercé son enfance. Dans « Beyrouth, je t’aime », la reprise instrumentale du thème principal du film Titanic, Jack rend un vibrant hommage à son père.
Une œuvre de variété, « Thérèse » haleine aux rythmes de balade, rock, instrumental et de Gbégbé. Que l’on retrouve dans « Aho Gagnoa », une chanson entraînante qui a envouté et fait danser toute l’assistance venue découvrir la nouvelle inspiration de Jack Traboulsy 33 ans après « Marilou ». D’ailleurs, la Directrice Générale du BURIDA, Mme Ireine Vieira présente à ladite cérémonie n’a pas pu résister à ce titre. Elle l’a rejoint sur scène et a esquissé des pas de danse. « Il faut dire que Jack a initié un festival en France depuis plusieurs années et depuis, le comité de restructuration du BURIDA a noué un partenariat avec ce festival-là. Il m’a invité et j’ai voulu venir le soutenir comme un frère. Il faut dire que nous avons une relation particulière avec Jack Traboulsy », a-t-elle confié.
L’œuvre est déjà disponible sur le marché et sur une quarantaine de plateformes de téléchargement.