Par JUSTIN KASSY/Afriquematin.net
Après quelques mois de compétition, le challenge « Bamiléké » a pris fin la semaine dernière. Au cours de ce challenge musical initié par la star Camerounaise Dahlia Fotsing, des talents ont été révélé. L’artiste a pu apprécier les prouesses des di candidats au cours de leurs différentes prestations des candidats. Elle s’est rendu compte de l’importance de son initiative d’organiser cet événement musical. Dahlia a pu découvrir en chacun des participants, la culture camerounaise.
Tous ont fait preuve de recherche, de courage et d’imagination créatrice. C’était utile ce concours à y voir de près. Dahlia a promis remettre le couvert l’année prochaine, vu l’engouement que ce concours a suscité. Mieux ! Elle se proposerait d’instituer annuellement ce « challenge Bamiléké » qui, il faut le dire tout net, a capté et maîtrisé beaucoup de mélomanes qui ont pris du plaisir à suivre les prestations des participants. Il y avait la mobilisation, il y avait aussi la curiosité des férus de musique, surtout de musique made in Africa, du Cameroun, notamment, qui voulaient voir et apprécier ce qu’il y a encore de plus précieux, mais demeurant toujours secret, mystique , aux yeux des mélomanes, au niveau de la culture camerounaise, capable d’attirer le public, à la recherche aujourd’hui, de l’inédit, de l’extraordinaire, de ce qui peut encore paraître comme attractif , tant aux yeux des Africains, des Camerounais eux-mêmes qu’ à ceux des Européens.
Au regard de tout ce qui a pu se passer, l’artiste, remercie les uns et les autres pour leur participation effective qui a valeur d’encouragement pour elle et pour la culture de son pays, afin de tout mettre en œuvre pour être aux premières loges musicales africaines, mondiales. Dahlia a les atouts pour réussir un tel pari, car pour un pari, c’en est vraiment un. Elle dit remuer ciel et terre, conjuguer ses efforts, en un mot, tout réunir en faisant : la promotion, la sensibilisation, des conférences de presse, concevoir des spots publicitaires, etc., pour permettre que la musique de son terroir soit sur la première marche du podium musical africain. Elle remercie, du fond du cœur, tous ceux qui, de loin ou de près, ont apporté leur savoir-faire, leur courage, leur détermination, pour que ce premier coup d’essai soit véritablement un coup de maître. A ceux qui n’ont pas pu prendre part à cette première édition du « Challenge Bamiléké », à tous ceux qui n’ont pas gagné, elle dit merci et leur donne rendez-vous l’année prochaine. Elle demande que chacun vienne ou revienne avec beaucoup d’enthousiasme pour redonner plus de succès à cette fête de la musique africaine, camerounaise. Qui n’en est pas moins un autre moyen non négligeable, pour donner encore et encore de la voix à la musique camerounaise.