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Un cadre du PDCI assassiné puis incinéré par son épouse en Suisse: la diaspora sous le choc.

Par OBIANG N – Afrique Matin.Net 

Est-il moralement et légalement permis d’incinérer le corps de son époux sans en informer ses parents, sa communauté ou encore la chancellerie de son pays d’origine? Que cache cette précipitation avec laquelle la dépouille de Bonaventure N’Dri Kokora, ce cadre actif du PDCI vivant en Suisse, a été incinérée par son épouse sans que personne ne soit informé?

En attendant les enquêtes en cours, toute la communauté ivoirienne vivant en Suisse est véritablement ameutée par cette affaire qui met formellement en cause l’épouse occidentale du défunt. Bonaventure N’Dri Kokora est un Ivoirien qui vit en Suisse précisément dans la ville de Berne avec son épouse blanche depuis bien longtemps et suffisamment connu parce que très actif au sein de la diaspora ivoirienne de Suisse.

Nourrissant de réelles ambitions politiques dans sa ville natale, Tiassalé, où de réelles opportunités s’offraient à lui, il envisageait de revenir au pays. Une idée qui semble-t-il n’était pas partagée par son épouse qui s’interprétait cela comme une trahison ou du moins comme une rupture de leur aventure idyllique. Cela suffit-il pour mettre un terme à la vie de celui qu’on aime éperdument?

Pour certains témoignages recueillis, le drame intérieur et permanent vécu par les Africains qui  »s’accouplent » à des Européennes est ahurissant et sans équivoque, au regard de la philosophie manipulatrice de celles-ci:  » Quand vous arrivez et qu’on vous donne tout le confort matériel et émotionnel. Il faut le rendre avec amour et gratitude ». Dans le cas contraire, il faut s’attendre au pire. Bonaventure N’Dri Kokora est certainement une des victimes de cette criminalité des femmes occidentales qui continuent de croire que l’Africain ne doit être rien d’autre que l’objet de leur sentimentalisme inassouvi.

Ce brillant cadre, paraît-il, aurait été « empoisonné et éliminé par jalousie », et incinéré pour détruire toute preuve matérielle, par  » l’unique volonté d’une femme au mépris des règles élémentaires parmi lesquelles ne serait-ce qu’informer l’Ambassade de Côte d’Ivoire »(Berne News) ou la fille du défunt résident dans le même pays.

A la police, elle justifie son acte d’incinération par le fait que Bonaventure N’Dri Kokora serait sans famille, ce qui constitue une injure terrible à toute la communauté ivoirienne en Suisse qui a toujours honorée et accordée une place de choix à cette dame durant les multiples activités de la diaspora. Aujourd’hui, elle a abandonné le domicile conjugal pour une destination ignorée et ses numéros de téléphone ne répondent plus.

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