Eleanor Roosevelt avait dit et je cite que : « les grands esprits discutent des idées ; les esprits moyens discutent des événements ; les petits esprits discutent des gens ». Si l’on se fie à cette citation, on pourrait aisément dire que l’artiste Jean Jacques Kouamé a décidé depuis qu’il a songé à mettre en veilleuse sa carrière d’artiste pour arpenter celle des affaires, qu’il a vu juste en s’y engageant dans cet autre monde. En tout cas, depuis deux ans, il a dévié dans le business. Désormais propriétaire de « Glory Shipping Group », une firme qui s’occupe de tout ce qui est importation et exportation de fruits de mer en Côte d’Ivoire, ce jeune opérateur économique, a su, par son travail et son abnégation se hisser aux rangs des grands. De sources sures, cette société est spécialisée dans le lobbying à grandes échelles, notamment dans les transactions financières, la recherche de marchés, la vente de produits pétroliers, l’agro-alimentaire, les infrastructures routières, la vente de pierres et objets précieux. Sans oublier la réalisation et production de films de style hollywoodiens. Pour marquer de l’effectivité de sa firme, Jean Jacques Kouamé était tout récemment au festival de Cannes pour présenter sa structure. Ainsi, de près comme de loin, l’on est tenté de dire qu’il est sur la bonne voie de réussir son passage d’artiste à homme d’affaire. Les portes de ses bureaux sont grandement ouvertes aux Ivoiriens ambitieux comme lui.