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Après son passage à la CPI, les graves révélations d’un témoin contre la procureure qui vont tout changer à la CPI.

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Il s’appelle Junior Gbagbo et fait partie des libériens qui ont combattus aux côtés des militaires proches de l’ancien président Laurent Gbagbo lors de la crise post-électoral. Il est également au nombre des témoins présentés par la procureure Bensouda pour témoigner contre Laurent Gbagbo et Charles Blé Goudé. Dans le récit qui suit, il fait de graves révélations sur la CPI.

GRAVES REVELATIONS DE JUNIOR GBAGBO.

« La CPI , m’a proposé plus de 2 milliards »

Junior GBAGBO : Chers camarades en GBAGBO je vous dis vraiment merci pour tous vos messages de ce matin laissé sur la publication de Léo cote d’Ivoire. Retenez ceci : Je suis GBAGBO et GBAGBO est mon père. C’est la mort qui me séparera de lui. Toute ma famille est GBAGBO. Pour rien au monde nous le laisserons. Je suis libérien et j’ai combattu aux côtés de mon président volontairement. Nous étions 45 dans ce cas. GBAGBO ne nous a rien donné , même pas un rond. Nous les 45 avions combattu gratuitement et parce qu’on l’aimait. Nous étions a la résidence lors des bombardements. Nous avons tenu jusqu’au dernière jour. Sur les 45 , un seul fut tué. Nous les 44 autres sommes revenus au Libéria. Nous sommes fiers d’avoir combattu pour le president. GBAGBO est dans mon sang. Je n’ai jamais travaillé pour Ouattara et dans les heures qui suivent je vous ferai des révélations via le profil de mon frère Leo cote d’Ivoire. Après la CPI je suis rentré au LIBERIA et j’y ai retrouvé ma grand mère tres malade , avant mon départ , décédée. La CPI , m’a proposé plus de 2 milliards , pensant que je témoignerai pour eux, mais après mon témoignage , je suis rentré avec rien parce qu’ils ont vu que mon témoignage étaient en leur défaveur. Je ne pourrai jamais trahir mon GBAGBO…>>

« Pour la sécurisation de la frontière Côte d’Ivoire-Libéria » 

Junior GBAGBO : <<En 2013 , les militaires libériens à leur frontière LIBERIA – COTE D’IVOIRE en avaient marre des comportements bêtes et sales des FRCI et les dozos en poste à la frontière du coté de la cote d’Ivoire. Les militaires libériens ne les considéraient pas comme des militaires réguliers. Donc des qu’un FRCI passait du côté de la frontière libérienne , il était frappé et blessé. Il y avait donc une tension à la frontière. Pendant ce temps moi j’étais en exil à Accra , Hamed bakayoko ne faisait que m’appeler et m’embrouiller me demandant pardon jusqu’à me supplier de rentrer au pays et de venir travailler avec le gouvernement Ouattara en vue de les aider à calmer la tension du coté de la frontière. Je refusais a chaque fois et je lui répétais à chaque fois que je ne peux pas venir travailler avec eux car je ne veux pas trahir mon GBAGBO. Ma femme en avait également marre de leurs appels. L’ONUCI puis le gouvernement libérien sont entrés en contact avec moi afin de les aider à ramener la paix du coté de la frontière car seul moi pouvait gérer ça. J’ai reçu donc un coup de fil de l:état libérien m’assurant de toutes les garanties mais j’ai exige ne pas passer par la cote d’Ivoire car tant que mon GBAGBO n’est pas rentré je ne mettrai pas pied en Cote d’Ivoire.

Je me suis donc rendu fin 2013 à la frontière du Libéria avec la cote d’Ivoire. ( Voir photos jointes.) j’étais en civil accompagné des Onusiens et ceux qui étaient en civils étaient mes gars. J’ai passé près de 9 mois labà et j’y ai rétabli l’ordre. Hamed Bakayoko voulait me remettre l’argent j’ai dit NON. Il a voulu corrompre les soldats libériens ils ont jeté son argent. Des temps après , on m’annonce l’arrivée de Ouattara à la frontière du Libéria puisque le calme était revenu. Hamed Bakayoko a demandé à ses hommes et à l’ONUCI de me faire partir car si je vois Ouattara je risque de le tuer… Je n’ai pas trahi GBAGBO. Cette action me fut demandée par l’Etat du LIBERIA. Je reste GBAGBO et je demeure…. Ouattara et son gouvernement sont impuissants. C’est des PLAISANTINS..>>.

« Les manipulation de la procureure. »

Junior GBAGBO : << Mi 2015 je reçois l’appel d’un agent de l’ONUCI me disant qu’il faut que j’aille témoigner. Je dis témoigner ou? Il ne me donna aucune réponse. Après une dame de la CPI m’a appelle me disant de témoigner et qu’elle viendrait vers moi. J’ai donc donne ma position et elle est venir vers moi. Elle m’a dit qu’elle voudrait forcément que je témoigne car si je ne témoignais pas , la vie de ma famille et de moi même seraient en danger. Mais aussi qu’elle voudrait que je témoigne contre le président GBAGBO , chose qu’elle ne m’a pas dit ouvertement. Mais je l’ai senti. Ils ont commence a me faire des cadeaux ( Portables , l’argent , aides , habits et tout) . Moi je m’en foutais . En ce moment l’audition pour mon témoignage n’était pas encore fait. Mais lors des échanges elle n’était pas satisfaite de mes réponses car la vérité que je donnais ne l’arrangeait pas. Pour me blaguer , La CPI m’a envoyé au Maroc faire un long temps là-bas. Je ne manquais de rien.

La même dame est venue me rejoindre là-bas , me posait des questions mais elle n’était pas satisfaite car je n’accablait pas mon père GBAGBO. Après ça la CPI m’a envoyé au Sénégal , j’y suis resté 2 mois et c’est là–bas que mon interview fut fait. Ils m’ont tourné tourné après m’ont re-envoyé à Casablanca. En effet , ils ne voulaient pas me faire témoigner car ils avaient peur que je blanchisse le président à la Haye. Ils m’ont promis voiture , maison , et assez assez d’argent si je témoignais contre mon président GBAGBO. Ma femme m’a dit notre président c’est LAURENT GBAGBO , ne va pas le vilipender ou le salir à cause de l’argent. Même si on a rien pour s’occuper des enfants , RESTONS DIGNES. Nous nous sommes rendus pour une première fois même à la Haye avec la dame de la CPI sans toute fois savoir que c’est la procureurs qui me poserait des questions, j’y ai fait même 2 semaines . c’était prévu que je passe mais ils m’ont ramené à Dakar parce qu’ils ne savaient pas si je ferai leur affaire. C’est ainsi que je me suis fâché et m’ont programmé pour le témoignage.

Arrivé sur les lieux , on m’octroya un avocat noir. Ce dernier m’a dit JUNIOR je sais que tu n’as pas dit la vérité au procureur mais n’ais pas peur d’eux , dis la vérité ici . Blanchit le président GBAGBO . Nous somme tous africains et il faut que la vérité soit dite.

C’est ainsi que le premier jour de témoignage j’ai explique comment les choses se déroulaient . Après ce premier jour j’ai eu les félicitations du bureau du procureur avec un peu d’argent et tout.

Les autres jours qui ont suivi en rentrant dans les détails j’ai dit la vérité sur le président GBAGBO. A partir de ce jour la CPI ne s’occupait plus de moi , ils ont bloqué mon passeport , m’ont arraché tous les portables et appareils qu’ils m’avaient donné. Ils m’ont remis 60€ pour le reste de mon séjour. Je me suis donc plaint au juge qui a exigé qu’on me redonne mon passeport. C’est par la suite que ma femme m’a envoyé de l’argent.

Je suis rentré avec 0f cfa sur moi. Tout ce qu’ils avaient promis ils ne m’ont rien donné. Mais je voulais leur dire que je m’en fous car j’ai dit la vérité sur mon président et j’ai sauvé ma dignité. J’aime GBAGBO et pour rien au monde je le laisserai. Je ne fus même pas appelle depuis que je suis venu par la CPI. jamais je ne trahirai mon GBAGBO.

Ils m’ont arrache tous les habits de froid. Le froid m’a bien chicotté et depuis j’en souffre. Mais pour GBAGBO je garde ma dignité…>>

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