Le chef de l’État algérien Abdelaziz Bouteflika a annoncé, hier, sa participation à la présidentielle du 18 avril 2019 prochain. À plus de quatre-vingt ans et après deux décennies de pouvoir, le président sortant a écrit une « lettre à la Nation » pour annoncer sa candidature à un cinquième mandat, mettant ainsi fin au « suspense ». D’après un journal algérien – le chef de l’État promet que, s’il est élu, de convoquer une « Conférence nationale » regroupant « toutes les forces politiques, économiques et sociales de la Nation », et de réformer la Constitution. Un programme qui ne convainc pas – . Face à Abdelaziz Bouteflika, se présente, notamment, Ali Ghediri, 65 ans, un général-major à la retraite. Sa candidature n’aurait toutefois aucune chance d’aboutir. Le figaro.fr, « fait surgir sur la scène politique de parfaits inconnus qui, une fois le scrutin passé et Abdelaziz Bouteflika réélu, retournent brutalement au néant ».
Source : france 24.com