La Sud-africaine Ngipheni Ngcobo a 64 ans et n’a jamais eu d’expérience sexuelle. Une vierge inhabituelle qui prend toujours part à la danse annuelle Zulu Swazi dite du roseau, consacrée essentiellement aux vierges et qui se déroule au palais Nyokeni, en Afrique du Sud. C’est le roi zoulou Goodwill Zwelithini, s’inspirant des traditions du Swaziland, qui a mis en place cette danse en 1984. Cette femme sud-africaine a récemment participé à la dernière cérémonie de danse pour les vierges, en compagnie de jeunes filles, forcément ses petites-filles.Oui, la Sud-africaine Ngipheni Ngcobo pourrait être la grand-mère de ces jeunes filles qui dansaient-là, avec leurs seins nus. Elle aussi par ailleurs. Une particularité, selon les témoins, ses seins sont restés… intacts. En plus d’être vierge, Ngipheni Ngcobo est une vraie moraliste.
La danse permettrait aux filles de s’abstenir de sexe avant le mariage. La Sud-africaine Ngipheni Ngcobo n’a jamais manqué une édition depuis 1984.
Lorsqu’on l’interroge sur sa vie d’abstinence, la belle et vieille vierge dit qu’elle avait été fiancée par le passé. Dix ans de fiançailles ! Elle attendait le jour de son mariage pour enfin se donner à son homme. Hélas, ce dernier l’a trompé avec une autre, qui plus est, une femme mariée. Cette déception l’a poussé à rester vierge, dit-elle.
Fait important, avant chaque cérémonie de danse, les vierges sont passées au crible. Des mains ou plutôt des doigts experts vérifient la véracité de leur virginité…
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