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Le Baya ? Une arme de séduction, et encore plus.

Source:ayana webzine

Qu’est-ce que c’est ?

Utilisées par les Africaines pour orner leur hanche, affléma chez les Akan ou baya pour les malinké, est un collier de perles ayant plusieurs objectifs.
Pure tradition culturelle, le baya était à la base utilisé comme une protection contre les mauvais esprits. Aujourd’hui, son rôle premier est la séduction. Porté aux hanches par les femmes africaines, il traduit leur désir de conquête et met en valeur leur féminité. Il se porte dans les pays africains tels que la Côte d’ivoire, le Mali, le Sénégal, le Burkina Faso.

Le Baya pour la santé.

Dans la tradition africaine, les perles sont utilisées pour guérir les maux de reins, d’où le port aux hanches.

Le Baya, une parure de beauté.

Porter les baya aux hanches permet à la femme de se tailler des formes et une silhouette avantageuses. Parure de beauté pour beaucoup de femmes, le baya est un accessoire de beauté, il détermine sa féminité et de sa sensualité.

Le Baya, une ceinture.

Pour maintenir les petits pagnes portés sous les boubous en guise de sous-vêtements ou encore sur certaines tenues traditionnelles ou moderne. Cette ceinture de perles et « petits pagnes » participe à l’esthétique propre aux femmes africaines et à l’expression de leur féminité.

Le Baya, une obsession pour certains hommes.

Le Baya éveiller les sens de l’homme, selon eux, il fait partie du corps de la femme, dans la mesure où il n’est pas sensé être enlevé. Il souligne le corps de la femme, sa beauté et suggère ses courbes. Dans le même esprit que les Bayas, de petits pagnes courts sont portés par les femmes et sont également destinés à éveiller l’appétit sexuel des hommes.

Le Baya, une arme fatale de séduction.

Dans leur quette d’homme, les femmes ont du développer des moyens de séduction. C’est alors que le Baya est rentré en jeu. Un Secret qui c’est transmis de mère en fille pour « capturer » son homme et le garder, le Baya est aussi un objet de séduction. Le Baya, est une arme à laquelle très peu d’hommes africaines peuvent échapper. On pourrait aussi y apparenter les chaînes aux reins en or, en argent, en coquillages, en métal, en plastique que portent à la taille aujourd’hui les jeunes filles. Il y en a même de fluorescents.

Ayana si vous n’en êtes pas encore une adepte, vous pourrez vous laisser tenter et expérimenter le Baya. Mais n’oubliez surtout pas de me faire un retour.

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